BnL
Au cours des nombreuses courses que disputent Flash McQueen et le redoutable Jackson Storm au début de Cars 3 (disponible sur Disney ), on peut apercevoir sur l'asphalte des circuits cette célèbre marque Pixar. Très importante dans WALL-E, la multinationale BnL fournissait également les piles de Buzz l'Eclair dans Toy Story 3.
Le numéro 31
Cette voiture nommée Terry Kargas est sponsorisée par une autre marque fictive inventée par les studios Pixar. A condition de ne pas cligner de l'oeil, vous pourrez en effet apercevoir sur sa carrosserie bleue l'inscription Triple Dent, le dentifrice qu'utilisait Riley dans Vice-Versa.
Santa Cecilia
Quelques mois avant la sortie en salles de Coco, on peut déjà apercevoir la ville natale de Miguel dans Cars 3, lorsque Cruz Ramirez tente de consoler un apprenti champion du nom de Gabriel : une voiture mexicaine qui semble avoir le mal du pays. On peut d'ailleurs l'entendre s'exclamer : "Santa Cecilia, mi pueblo !"
A113
Comme dans chacune des productions Pixar, le code de la classe dans laquelle ont étudié tous les vétérans du studio apparaît dans Cars 3. Difficile de le louper, puisqu'il est très lisiblement inscrit sur la porte de Sterling, le nouveau propriétaire de Rusteze.
Le carrosse de Cendrillon
Tout droit sorti du classique Disney de 1950, cet ancêtre des voitures trône fièrement dans la vitrine de Sterling.
Apple
Steve Jobs étant l'un des fondateurs de Pixar, les artistes du studio ne manquent pas une occasion de lui rendre hommage. Après avoir été utilisé dans WALL-E (lorsque le petit robot rechargeait ses batteries solaires) le son d'allumage des ordinateurs Apple est ici associé au tapis de course de Cruz Ramirez.
Le ballon de Luxo
Du rouge, du jaune, du bleu, une étoile sur le capot... Ce pauvre tacot particulièrement malmené lors du derby de démolition porte fièrement les couleurs du petit ballon qui servait de jouet à Luxo Jr. (la mascotte de Pixar) dans le court métrage du même nom. Son numéro est d'ailleurs le 86, année de sortie du film.
Le ballon de Luxo 2
Un peu plus tard dans le film, lorsque Flash se retrouve face à de nombreux articles de presse qui le concernent, on peut d'ailleurs apercevoir le fameux ballon, caché sur une étagère.
La camionnette Pizza Planet
Impossible d'envisager un Pixar sans elle (surtout dans le monde des voitures). Dans Cars 3, la camionnette qui avait transporté les jouets de Toy Story en 1995 fait ainsi partie des concurrents du derby. Durant le spectacle, elle se fait d'ailleurs violemment percuter par une autre voiture, et la fusée qu'elle porte sur le toit termine dans la foule.
Les plaques de Miss Fritter
Toujours lors du derby, ce bus scolaire assez flippant porte sur sa carrosserie tout un tas de plaques d'immatriculation ayant probablement appartenu à ses anciennes victimes. Outre un nouveau code A113 un peu détourné (A01-13), on peut ainsi apercevoir les inscriptions "Cutting Boulevard" et "Park Avenue", qui correspondent aux adresses (passées et présentes) des studios Pixar.
Insuricare
Cette marque d'assurance fictive (également présente lors du derby) correspond à la compagnie dans laquelle travaillait Bob Parr dans Les Indestructibles, avant d'envoyer valser son patron pour reprendre sa carrière de super-héros.
SleepWell
Cette chaîne d'établissements hôteliers apparaissait déjà dans le moyen métrage Toy Story : angoisse au motel, sorti en 2013. Aux alentours d'Halloween, Woody, Buzz et leurs amis y passaient une nuit plutôt effrayante.
Dans le sac
La mélodie que fredonne Martin lorsque Flash l'appelle au téléphone devrait rappeler quelques souvenirs aux fans des premiers cartoons Disney. Elle reprend en effet la chanson entonnée par le garde forestier Woodlore pour obliger ses ours à ramasser des détritus dans le court métrage Dans le sac sorti en 1956.
La guitare d'Ernesto de la Cruz
Autre clin d'oeil à Coco - le futur long métrage des studios Pixar annoncé en salles quelques mois après Cars 3 - cette jolie guitare appartenant à Ernesto de la Cruz figure parmi les reliques de ce groupe de country, à Thomasville.
E.T.
Durant le générique final du film, ce cadre sur lequel Martin et ses amis font un vol plané devant la pleine lune est évidemment une référence au célèbre film de Steven Spielberg.
