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    10 super-héros d'un jour, de Bruce tout puissant à The Mask
    Corentin Palanchini
    Passionné par le cinéma hollywoodien des années 10 à 70, il suit avec intérêt l’évolution actuelle de l’industrie du 7e Art, et regarde tout ce qui lui passe devant les yeux : comédie française, polar des années 90, Palme d’or oubliée ou films du moment. Et avec le temps qu’il lui reste, des séries.

    Découvrez ces personnages de films qui du jour au lendemain, se retrouvent à gérer d'étranges pouvoirs.

    Gaumont Buena Vista International (GBVI)

    Nous avons exclu de la sélection les films d'animation ainsi que les films de super-héros, dont les héros ont des pouvoirs persistants. De la même façon, les longs métrages dans lequel le personnage principal est uniquement victime de circonstances (Un jour sans fin, Menteur, menteur), ont été écartés.

    Bruce tout puissant (2003)

    Le journaliste Bruce Nolan (Jim Carrey) vit une mauvaise journée et peste contre Dieu... qui le lui rend bien puisqu'il lui apparaît (Morgan Freeman) et lui confie ses pouvoirs pendant une semaine. Le défi de Bruce est de "faire mieux que Dieu" et s'il n'y parvient pas, la Terre subira l'apocalypse. Une comédie "divine" qui gagne à être revue pour la dévotion de Jim Carrey à son rôle.

    Absolutely Anything (2015)

    Neil Clarke (Simon Pegg) reçoit du Conseil Intergalactique des Êtres Supérieurs le pouvoir de faire absolument tout ce qu'il veut. A son insu, le moindre de ses faits et gestes est épié et peut conduire à la destruction de la Terre par les extraterrestres. La mise en scène de ce film sans prétention est signée par Terry Jones, cocréateur des Monty Python et réalisateur de La vie de Brian.

    Ce que veulent les femmes (2001)

    Un publicitaire ne comprend plus les attentes des femmes et il loupe une grosse promotion. Un soir, il s'électrocute et se réveille avec le pouvoir de lire les pensées des femmes. Nancy Meyers (The Holiday, Tout peut arriver) réalise ce film porté par un Mel Gibson en grande forme mais cabotin. A noter qu'est sorti en catimini cette année Ce que veulent les hommes, inspiré par le film de Meyers.

    Il était temps (2013)

    Tim Lake (Domhnall Gleeson) découvre qu’il a la capacité de voyager dans le temps... Il ne peut changer l'histoire mais peut changer le cours de sa propre existence. Il va donc essayer de séduire Mary, mais ses tentatives échouent les unes après les autres et en parallèle, sa nouvelle vie s'effondre petit à petit. Une comédie romantique originale et bien jouée, Rachel McAdams en tête, qui illumine le film de sa seule présence.

    Click: télécommandez votre vie (2006)

    Adam Sandler se retrouve avec une télécommande qui lui permet d'utiliser toutes ses touches dans la vie : baisser le son du chien, faire une vraie pause ou passer en avance rapide sur une dispute avec sa femme. Sauf que l'appareil va avoir des effets secondaires très indésirables. La troisième collaboration entre Frank Coraci et Sandler, qui tourneront ensuite Famille recomposée et Ridiculous 6.

    Endiablé (2001)

    Elliot Richards (Brendan Fraser) ne parvient pas à attirer l'attention de sa collègue Alison Gardner qu'il aime par-dessus tout. Il est contacté par une femme (en réalité le Diable), qui lui permet d'obtenir de puissants pouvoirs en échange de son âme... A noter que le film s'inspire de Fantasmes de Stanley Donen (1967), dans lequel Peter Cook joue le diable et Dudley Moore l'amoureux frustré.

    Phénomène (1996)

    John Travolta incarne George, un garagiste d'une petite ville américaine soudainement frappé par une lumière vive venue du ciel et qui se réveille avec des capacités intellectuelles et télékinésiques. Tout le monde est surpris ou effrayé par ces nouveaux pouvoirs, sauf Lance, une jeune femme récemment arrivée en ville avec ses deux enfants.

    The Mask (1994)

    Amateur des dessins-animés de Tex Avery, Stanley Ipkiss (Jim Carrey) trouve un masque aux pouvoirs surnaturels qui lui permet de laisser libre cours à son imagination débordante. Le personnage fantasque créé lorsqu'on porte le masque possède une confiance en lui que n'a hélas pas Stanley et lui permet d'outrepasser sa timidité. Mais des individus mal intentionnés cherchent à mettre la main sur les pouvoirs de l'objet...

    The Invention of Lying (2010)

    Dans un monde où personne ne ment et tout le monde dit obligatoirement la vérité, Mark Bellison (Ricky Gervais) découvre qu'il peut mentir. Il va utiliser cette capacité pour servir ses intérêts, puisqu'il vient de perdre son emploi et qu'il n'a plus beaucoup d'argent de côté. Une comédie grinçante et savoureuse qui n'a pas eu le succès qu'elle méritait lors de sa sortie.

    Garou-Garou, le passe-muraille (1951)

    Victime de ses proches comme de ses employeurs, Léon Dutilleul (Bourvil) découvre qu'il est capable de passer à travers les murs. S'il utilise d'abord ce pouvoir pour se venger de ceux qui lui ont causé du tort, il s'en sert ensuite pour remettre une jeune cambrioleuse dans le droit chemin. Le réalisateur Jean Boyer travaillera avec Bourvil sur trois autres films : le remake Le rosier de Madame Husson (1950), Le trou normand (1952) et Cent francs par seconde (1953).

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