Gollum (saga Le Seigneur des Anneaux / Le Hobbit)
Ce personnage mémorable doit beaucoup à l'interprétation, tant vocale que physique, d'Andy Serkis. A l'époque, la technique de motion capture obligeait le comédien à jouer deux fois ses scènes, parfois à plusieurs mois d'intervalle : une première fois pour filmer ses déplacements dans le décor et ses interactions avec les autres acteurs, une deuxième pour ses expressions faciales.
Kong (King Kong)
King Kong a bénéficié d'une véritable avancée technologique permettant simultanément la capture corporelle et faciale. Un sacré gain de temps, même pour un rôle sans texte ! A propos de ce remake de Peter Jackson sorti en 2005, Serkis a déclaré au Guardian des années plus tard : "C'était une révélation parce que ça voulait dire « tu peux tout jouer maintenant »."
Capitaine Haddock (Les Aventures de Tintin : Le Secret de la licorne)
Sept ans après Le Pôle Express, le premier film intégralement filmé en performance capture, Spielberg et Jackson ont ajouté la troisième dimension à la bande dessinée d'Hergé dans Les Aventures de Tintin : Le Secret de la licorne. Si le long métrage n'a pas totalement conquis les fans, Andy Serkis a su convaincre avec son interprétation du capitaine Haddock.
César (trilogie La Planète des singes)
Encore un film qui a bénéficié d'innovations technologiques : Andy Serkis et les autres comédiens jouant les singes ont tourné en décors naturels, et non pas sur fond vert. Le réalisateur Rupert Wyatt pouvait ainsi voir en direct les animaux sur son moniteur de contrôle, sans avoir à attendre l'incrustation des images de synthèse. Le rendu est effectivement très fluide à l'écran.
Snoke (Star Wars VII & VIII)
Devenu une star de la performance capture, Andy Serkis est embauché pour incarner un méchant de la nouvelle trilogie Star Wars. Après sa brève apparition dans Le Réveil de la force sous forme d'hologramme, Snoke subit un profond redesign pour Les Derniers Jedi : taille, grain de peau... En VO, la voix gutturale d'Andy Serkis accentue le côté dérangeant du personnnage.
Baloo (Mowgli : La Légende de la jungle)
Andy Serkis relève un sacré défi avec la nouvelle adaptation du Livre de la jungle : il met en scène un casting de stars en performance capture, il dirige un enfant dont c'est le premier film et il incarne lui-même un des personnages principaux. Son interprétation de Baloo apporte rondeur et humanité à ce film brutal et sauvage.
Gollum (saga Le Seigneur des Anneaux / Le Hobbit)
Ce personnage mémorable doit beaucoup à l'interprétation, tant vocale que physique, d'Andy Serkis. A l'époque, la technique de motion capture obligeait le comédien à jouer deux fois ses scènes, parfois à plusieurs mois d'intervalle : une première fois pour filmer ses déplacements dans le décor et ses interactions avec les autres acteurs, une deuxième pour ses expressions faciales.
Kong (King Kong)
King Kong a bénéficié d'une véritable avancée technologique permettant simultanément la capture corporelle et faciale. Un sacré gain de temps, même pour un rôle sans texte ! A propos de ce remake de Peter Jackson sorti en 2005, Serkis a déclaré au Guardian des années plus tard : "C'était une révélation parce que ça voulait dire « tu peux tout jouer maintenant »."
Capitaine Haddock (Les Aventures de Tintin : Le Secret de la licorne)
Sept ans après Le Pôle Express, le premier film intégralement filmé en performance capture, Spielberg et Jackson ont ajouté la troisième dimension à la bande dessinée d'Hergé dans Les Aventures de Tintin : Le Secret de la licorne. Si le long métrage n'a pas totalement conquis les fans, Andy Serkis a su convaincre avec son interprétation du capitaine Haddock.
César (trilogie La Planète des singes)
Encore un film qui a bénéficié d'innovations technologiques : Andy Serkis et les autres comédiens jouant les singes ont tourné en décors naturels, et non pas sur fond vert. Le réalisateur Rupert Wyatt pouvait ainsi voir en direct les animaux sur son moniteur de contrôle, sans avoir à attendre l'incrustation des images de synthèse. Le rendu est effectivement très fluide à l'écran.
Snoke (Star Wars VII & VIII)
Devenu une star de la performance capture, Andy Serkis est embauché pour incarner un méchant de la nouvelle trilogie Star Wars. Après sa brève apparition dans Le Réveil de la force sous forme d'hologramme, Snoke subit un profond redesign pour Les Derniers Jedi : taille, grain de peau... En VO, la voix gutturale d'Andy Serkis accentue le côté dérangeant du personnnage.
Baloo (Mowgli : La Légende de la jungle)
Andy Serkis relève un sacré défi avec la nouvelle adaptation du Livre de la jungle : il met en scène un casting de stars en performance capture, il dirige un enfant dont c'est le premier film et il incarne lui-même un des personnages principaux. Son interprétation de Baloo apporte rondeur et humanité à ce film brutal et sauvage.