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    Gaston Lagaffe : 10 gaffes du film qui s'inspirent de la BD
    Thomas Imbert
    Thomas Imbert
    -Chef de rubrique - Infotainment
    De la Terre du Milieu aux confins de la galaxie Star Wars en passant par les jungles de Jurassic Park, il ne refuse jamais un petit voyage vers les plus grandes sagas du cinéma. Enfant des années 90, créateur des émissions Give Me Five et Big Fan Theory, il écrit pour AlloCiné depuis 2010.

    De la vache au gaffophone en passant par la porte à ressort, (re)découvrez 10 boulettes de "Gaston Lagaffe" (en salles cette semaine) inspirées par la bande dessinée originale...

    Dupuis / Arnaud Borrel

    La vache

    Sur les planches de la bande dessinée signée Franquin, c'est dans la rédaction de Spirou que Gaston la fait entrer. Dans le film de Pef (en salles cette semaine), ça se passe dans les locaux du Petitcoin. Quoi qu'il en soit, et quel que soit le contexte, les dirigeants de Lagaffe (Prunelle en tête) n'ont jamais vraiment saisi l'intérêt d'amener une vache sur son lieu de travail.

    Le gaffophone

    Probablement l'invention la plus célèbre de notre ami gaffeur ! Cet étrange instrument à cordes et à vent, très présent dans la bande dessinée, tient également une place de choix dans le long métrage, pour le plus grand malheur de Prunelle, de ses oreilles... et des vitres du bureau.

    La mouette et le chat

    Quand il ne se promène pas dans les couloirs de l'entreprise avec sa vache, Lagaffe se balade avec ses deux autres animaux de compagnie : un chat aussi paresseux que lui et une mouette rieuse qui terrorise ses collègues. A eux deux, les sbires à poils et à plumes de Gaston mettront autant de pagaille dans les bureaux du Petitcoin que dans la rédaction du Journal de Spirou.

    Monsieur de Mesmaeker

    Gags récurrents dans les bandes dessinées de Franquin, les visites répétées de Monsieur de Mesmaeker, venu signer des contrats dont on ignore la nature, tiennent lieu de fil rouge au long métrage de Pef. Dans le film, l'entrepreneur incarné par Jérôme Commandeur a tout simplement l'intention de racheter l'entreprise, à condition bien sûr que Lagaffe lui en laisse la possibilité.

    La voiture

    A l'image de son propriétaire, le tacot qui permet à Lagaffe de venir "travailler" ne s'embarrasse pas des conventions sociales, et traine toujours là où il ne faut pas, au grand dam du policier Longtarin. Egalement présente dans les BD de Franquin, la voiture de Gaston est une source inépuisable de catastrophes.

    La cachette dans les archives

    Habitué à s'isoler dans la luxuriante jungle des archives du Journal de Spirou pour dormir sans être dérangé, Gaston Lagaffe fait de même au cinéma. Cette fois-ci, c'est entre les nombreux cartons d'articles invendus qu'il a décidé d'étendre son hamac.

    Le sac de couchage dans le placard

    Qu'on se trouve entre les pages d'une bande dessinée ou sur un écran de cinéma, le coup du sac de couchage pendu à la porte d'un placard fonctionne toujours à la perfection !

    Le radiateur à café

    Aux petits soins pour ses collègues malgré sa maladresse et sa flemmardise, Gaston s'est mis en tête de leur faciliter la vie en mélangeant radiateur et machine à café. Une invention reproduite au cinéma avec les mêmes résultats. Mais bon... après tout, c'est l'intention qui compte.

    La porte à ressorts

    Même sur le papier, on ne voit pas très bien comment ça peut fonctionner. Pourtant, là encore, c'est dans le but d'aider son prochain que Gaston a élaboré ce nouveau stratagème. Entre les bulles de Franquin comme devant la caméra de Pef, ce système de porte semi-automatique pavé de bonnes intentions fera vivre aux collègues de Lagaffe un véritable enfer.

    Le siège à ressort

    Classique, et donc incontournable. Une invention brevetée Lagaffe qu'on pourrait croire confortable... avant de traverser le plafond et de se retrouver propulsé trois étages plus haut sans trop comprendre comment. Décidément, Gaston et les ressorts ne font pas bon ménage.

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