Tout le monde debout (2018)
Le menteur : Franck Dubosc
Le mensonge : "Je suis paraplégique"
Dans Tout le monde debout, un menteur pathologique, à qui tout réussit mais qui s'ennuie dans sa vie, trouve le pire des mensonges à exploiter. Alors qu'il est assis dans le fauteuil roulant de sa mère, une jeune femme entre dans la pièce et imagine qu'il est donc handicapé. Jocelyn, c'est son nom, ne rectifie pas le quiproquo parce que la jeune femme est à son goût et qu'il s'imagine la séduire de cette façon. Sauf que cette dernière a aussi une idée derrière la tête et lui présente sa grande soeur, célibataire et handicapée...
La Totale (1991) / True Lies (1994)
Le(s) menteur(s) : Thierry Lhermitte et Arnold Schwarzenegger
Le mensonge : "Je suis un mec tellement ennuyeuxxxxx"
Hilarante comédie de Claude Zidi, La Totale a généré sans surprise un remake à l'américaine, True Lies. Si les moyens utilisés ne sont pas les mêmes, les ressorts le sont bel et bien. Dans les deux films, un agent secret du gouvernement est obligé de mentir à ses proches. Afin de couvrir ses activités aussi excitantes que dangereuses, il utilise ainsi une couverture de petit cadre bien propre sur lui. Revers de la médaille : son épouse qui s'ennuie à mourir se trouve un amant pour pimenter son quotidien....
L'Arnacoeur (2010)
Le menteur : Romain Duris
Le mensonge : "Mon métier, c'est garde du corps et pas du tout briseur de ménages"
Alex sauve les femmes malheureuses en amour. Le tout à leur insu... Briseur de couples professionnel, il se fait engager par des proches de sa cible, se renseigne ensuite sur la vie de cette dernière, développe un nouveau personnage (et donc un gros mensonge) puis débarque dans la vie de sa "cliente", la séduit, le tout pour lui faire réaliser que l'homme qui partage sa vie est un vrai tocard, un pur escroc, un gros égoïste, une petite... Bref, un sale type. Une fois sa mission accomplie, Alex raconte qu'il est de nouveau vivant grâce à elle mais que, pour lui, il est déjà bien trop tard. Un bon embobineur !
La vérité si je mens (1997)
Le menteur : Richard Anconina
Le mensonge : "Oui, tout à fait, je suis juif !"
Champion du monde ! C'est l'un des mensonges les plus cultes de la comédie française. Totalement désoeuvré, Edouard, Eddie de son futur petit nom, est embauché par un patron juif du Sentier qui pense, à tort, qu'il est également de confession juive. Dans la mouise la plus totale, Eddie ne corrige pas le quiproquo et finit par être totalement intégré dans ce qui devenir sa nouvelle communauté. Il se fait des amis, tombe amoureux de la fille de ses rêves et grimpe les échelons. Bien évidemment, tout ce succès a un prix et le héros de La Vérité si je mens s'empêtre dans son tissu de mensonges et a de plus de mal à rester crédible...
Tootsie (1982)
Le menteur : Dustin Hoffman
Le mensonge : "Je suis une femme jusqu'aux bout des ongles"
Dans Madame Doubtfire, Robin Williams se faisait passer pour une femme afin de devenir la gouvernante de ses propres enfants. Dans Tootsie, ce n'est pas le lien affectif qui fait naître le mensonge mais la fierté d'un acteur en galère. Par pur défi, Michael passe une audition déguisé en femme.. et finit par être embauché ! Il devient Dorothy Michaels et, là, le succès arrive enfin. Mais, évidemment, être une femme va s'avérer bien plus compliqué qu'il ne le pensait...
Joyeuses Pâques (1984)
Le menteur : Jean-Paul Belmondo
Le mensonge : "Mais non, voyons, c'est ma fille !"
Plus de 30 ans séparent Jean-Paul Belmondo et Sophie Marceau. Par conséquent, le mensonge au coeur de Joyeuses Pâques est plus crédible que la réalité ! Dans cette comédie signée Georges Lautner, son personnage invite la jeune Julie chez lui mais se fait surprendre par l'arrivée de sa femme Sophie, campée par Marie Laforêt. Pour trouver une excuse à la présence de la jeune femme chez eux, il raconte qu'il s'agit de sa fille cachée. Ce dont il ne se doute pas, c'est que sa femme est loin d'être naïve et a très bien compris son petit manège...
Le Mytho (2011)
Le menteur : Adam Sandler
Le mensonge : "Je suis marié mais, pas d'inquiétude, bientôt divorcé !"
Pour séduire un maximum de femmes sans s'engager, Danny prétend qu'il est marié, ce qui lui évite de se justifier à tout bout de champ. Mais, évidemment, un jour, il rencontre la perle rare. Rebondissement attendu : cette dernière trouve sa fausse alliance et imagine donc qu'il est marié ! L'arroseur arrosé en somme. Au lieu de s'amender, le voilà qui s'embourbe dans son mensonge encore plus loin. Il s'invente alors une fausse ex-femme en la personne de son assistante Jennifer Aniston, puis fait croire que les enfants de cette dernière sont les siens... Un monsieur très simple !
L'amour à tout prix (1995)
La menteuse : Sandra Bullock
Le mensonge : "Euh, oui, je suis sa fiancée..."
Sandra Bullock est une spécialiste du mensonge "spécial comédie romantique". Bien avant de forcer Ryan Reynolds à mentir à toute sa famille dans La Proposition, elle se retrouvait à mentir à celle de Peter Gallagher et Bill Pullman, les deux frères de L'amour à tout prix. Dans cette sympathique comédie américaine, l'actrice campe Lucy, une timide guichetière de métro, amoureuse de Peter, un bel inconnu qu'elle voit passer tous les jours. Un beau jour, ce dernier est poussé sur les rails et Lucy lui sauve la vie. A l'hôpital, elle se retrouve vite submergée par la famille de Peter qui imagine qu'elle est sa fiancée. Prise dans le tumulte du moment, Lucy ne sait pas comment leur dire la vérité, surtout que ces derniers se sont tout de suite pris d'affection pour elle. Mais, le pire est à venir puisque Lucy finit par réaliser que Peter est loin d'être l'homme idéal mais que son frère, lui, s'en approche dangereusement...
L'Italien (2010)
Le menteur : Kad Merad
Le mensonge : "Je bosse pour Maserati, alors bien sûr, je suis italien !"
L'Italien est, comme La vérité si je mens, basée sur un énorme mensonge identitaire. Vendeur star d'une concession automobile Maserati, Mourad, franco-algérien qui a subi des discriminations au démarrage de sa vie d'adulte, a construit sa vie entière autour d'un mensonge qui lui a facilité l'existence. A Nice, pour son patron et sa fiancée, il est donc Dino Fabrizzi, un italien. Pour ses parents, il travaille en Italie. Une stratégie bien huilée pour que ses deux vies ne se mélangent pas mais qui le prive aussi de ce qu'il est. Lorsque son père, malade, lui demande de pratiquer le Ramadan, qu'il a toujours réussi à éviter, Mourad se retrouve dans une situation très compliquée à gérer au quotidien...
Le Placard (2001)
Le menteur : Daniel Auteuil
Le mensonge : "Je ne vous avais pas dit que j'étais homosexuel ?"
Cette fois campé par Auteuil, le fameux François Pignon de Francis Veber s'engage dans un gros mensonge à l'occasion du Placard, comédie dont le succès poussera le réalisateur à l'adapter ensuite sur les planches. Discret et générant l'indifférence, Pignon est sur le point de se faire virer. Désespéré par cette perspective, il s'apprête à faire une grosse bêtise lorsque son voisin lui conseille de faire croire à ses patrons et collègues qu'il est homosexuel afin que ces derniers soient bien embêtés à l'idée de le licencier.
Le prénom (2012)
Le menteur : Patrick Bruel
Le mensonge : "On a décidé d'appeler notre bébé..."
Adapté de la pièce éponyme à grand succès, Le Prénom est une comédie jubilatoire où les dialogues, les vieux règlements de compte et les secrets fusent sans interruption. Au départ de ce dîner de la débâcle : un énorme mensonge inventé par provocation par Vincent (Bruel) qui annonce à sa soeur, son beau-frère et leur ami le plus proche qu'il compte appeler son fils Adolphe. Pas pour Adolf Hitler, non, non, mais en référence au personnage de Benjamin Constant... Ce mensonge éhonté va provoquer un véritable choc et un raz de marée qui ne laissera personne indemne...
La vie est belle (1997)
Le menteur : Roberto Benigni
Le mensonge : "Rien de tout ça n'est vrai, ce n'est qu'un jeu !"
Loin d'être une pure comédie, La Vie est belle est une véritable comédie dramatique où l'on rit beaucoup mais où le drame et le mal sont partout, tapis dans l'ombre. Au coeur du film, la déportation d'une famille italienne dans les camps et le sacrifice d'un père pour le bien de son fils. De l'un à l'autre, le plus beau et bouleversant des mensonges. Pour protéger et éviter l'horreur à son fils, le joyeux luron Guido va en effet tout faire pour contourner la barbarie en lui faisant croire que tout ce qui a lieu dans le camp n'est qu'un énorme jeu, le grand prix étant un char d'assaut...
Tout le monde debout (2018)
Le menteur : Franck Dubosc Le mensonge : "Je suis paraplégique" Dans Tout le monde debout, un menteur pathologique, trouve le pire des mensonges à exploiter. Alors qu'il est assis dans le fauteuil roulant de sa mère, une jeune femme entre dans la pièce et imagine qu'il est donc handicapé. Jocelyn, c'est son nom, ne rectifie pas le quiproquo parce que la jeune femme est à son goût...
La Totale (1991) / True Lies (1994)
Le(s) menteur(s) : Thierry Lhermitte et Arnold Schwarzenegger Le mensonge : "Je suis un mec tellement ennuyeuxxxxx" Hilarante comédie de Claude Zidi, La Totale a généré sans surprise un remake à l'américaine, True Lies. Si les moyens utilisés ne sont pas les mêmes, les ressorts le sont bel et bien. Dans les deux films, un agent secret est obligé de mentir à ses proches afin de couvrir ses activités.
L'Arnacoeur (2010)
Le menteur : Romain Duris Le mensonge : "Je vous aime tellement" Briseur de couples professionnel, Alex se fait engager par des proches de sa cible, se renseigne sur la vie de cette dernière, développe un nouveau personnage (et donc un gros mensonge) puis débarque dans la vie de sa "cliente", la séduit et lui fait réaliser que l'homme qui partage sa vie est un vrai tocard.
La vérité si je mens (1997)
Le menteur : Richard Anconina Le mensonge : "Oui, tout à fait, je suis juif !" Champion du monde ! C'est l'un des mensonges les plus cultes de la comédie française. Totalement désoeuvré, Edouard, Eddie de son futur petit nom, est embauché par un patron juif du Sentier qui pense, à tort, qu'il est également de confession juive. Dans la mouise la plus totale, Eddie ne corrige pas le quiproquo...
Tootsie (1982)
Le menteur : Dustin Hoffman Le mensonge : "Je suis une femme jusqu'aux bout des ongles" Dans Madame Doubtfire, Robin Williams se faisait passer pour une femme afin de devenir la gouvernante de ses propres enfants. Dans Tootsie, ce n'est pas le lien affectif qui fait naître le mensonge mais la fierté d'un acteur en galère. Par pur défi, Michael passe une audition déguisé en femme.. et finit par être embauché !
Joyeuses Pâques (1984)
Le menteur : Jean-Paul Belmondo Le mensonge : "Mais non, voyons, c'est ma fille !" Plus de 30 ans séparent Jean-Paul Belmondo et Sophie Marceau. Le mensonge au coeur de Joyeuses Pâques est donc plus crédible que la réalité ! Son personnage invite la jeune Julie chez lui mais se fait surprendre par l'arrivée de sa femme. Pour trouver une excuse, il raconte qu'il s'agit de sa fille cachée.
Le Mytho (2011)
Le menteur : Adam Sandler Le mensonge : "Je suis marié mais, pas d'inquiétude, bientôt divorcé !" Pour séduire un maximum de femmes sans s'engager, Danny prétend qu'il est marié. Mais, évidemment, un jour, il rencontre la perle rare. Rebondissement attendu : cette dernière trouve sa fausse alliance et imagine donc qu'il est marié ! L'arroseur arrosé en somme.
L'amour à tout prix (1995)
La menteuse : Sandra Bullock Le mensonge : "Euh, oui, je suis sa fiancée..." Sandra Bullock est une spécialiste du mensonge "spécial comédie romantique". Bien avant de forcer Ryan Reynolds à mentir à toute sa famille dans La Proposition, elle se retrouvait à mentir à celle de Peter Gallagher et Bill Pullman, les deux frères de L'amour à tout prix.
L'Italien (2010)
Le menteur : Kad Merad Le mensonge : "Je bosse pour Maserati, bien sûr, je suis italien !" L'Italien est, comme La vérité si je mens, basée sur un mensonge identitaire. Vendeur d'une concession automobile, Mourad, franco-algérien, a construit sa vie entière autour d'un mensonge. A Nice, pour son patron et sa fiancée, il est donc Dino Fabrizzi, un italien. Pour ses parents, il travaille en Italie.
Le Placard (2001)
Le menteur : Daniel Auteuil Le mensonge : "Je ne vous avais pas dit que j'étais homosexuel ?" Cette fois campé par Auteuil, le fameux François Pignon de Francis Veber s'engage dans un gros mensonge à l'occasion du Placard. Discret et générant l'indifférence, Pignon, sur le point de se faire virer, fait croire à ses patrons qu'il est homosexuel afin d'empêcher son licenciement.
Le prénom (2012)
Le menteur : Patrick Bruel Le mensonge : "On a décidé d'appeler notre bébé..." Adapté de la pièce éponyme, Le Prénom est une comédie où les dialogues, les vieux règlements de compte et les secrets fusent sans interruption. Au départ de ce dîner : un mensonge inventé par provocation par Vincent qui annonce à sa soeur, son beau-frère et leur ami le plus proche qu'il compte appeler son fils Adolphe.
La vie est belle (1997)
Le menteur : Roberto Benigni Le mensonge : "Ce n'est qu'un jeu !" Au coeur de La vie est belle, la déportation d'une famille italienne dans les camps et le sacrifice d'un père pour le bien de son fils. De l'un à l'autre, le plus beau des mensonges. Pour protéger son fils, Guido va tout faire pour contourner la barbarie en lui faisant croire que tout ce qui a lieu dans le camp n'est qu'un jeu...