Notre émission live où l'on vous parle de La Casa de Papel :
LA CASA DE PAPEL
Bénéficiant d’un bouche-à-oreille positif et d’un accueil critique favorable, le show espagnol La Casa de Papel racontant le casse du siècle semble créer un véritable engouement sur Netflix, grâce à une narration terriblement efficace, usant de digressions, de flashbacks et de flashforwards et bien sûr des sacro-saints cliffhangers de fins d'épisode qui tiennent en haleine jusqu'au suivant. Elle a clairement tout appris de ses aînées américaines et trouve parfaitement sa place à l'époque du binge-watching.
24 HEURES CHRONO
24 Heures Chrono est sans doute LA première série à avoir créé une telle addiction auprès des téléspectateurs grâce à son concept même qui, on le rappelle, est de raconter chaque saison une nouvelle course contre la montre, en temps réel, du responsable de la Cellule Anti-Terroriste de Los Angeles, Jack Bauer, incarné par Kiefer Sutherland. Et les premières saisons étaient effectivement tout ce qu'il y a de plus rythmé et addictif, avec retournements de situation à la clé, et sans jamais de pause pipi, ni pour lui... ni pour nous !
PRISON BREAK
Dans le sillage de 24 Heures Chrono, la chaîne FOX a remis ça avec Prison Break et son concept ultra fort, là encore basé sur le principe de course contre la montre mais pas en temps réel cette fois : Michael Scofield se fait incarcérer dans la même prison que son frère Lincoln, en attente de son exécution dans le couloir de la mort, afin d'organiser leur évasion. On retiendra surtout la première saison, incroyablement addictive malgré ses facilités, qui nous faisait littéralement suffoquer à chaque fin d'épisode !
LOST
Vous vous souvenez de la fin de la première saison de Lost, lorsque cette fichue trappe s'ouvrait enfin, nous laissant trois mois dans un suspense insoutenable pour savoir enfin ce qui se cachait là-dessous ? Lost, c'était ça et bien plus encore : une série qui accumulait les mystères et les questions, certes, mais qui savait comme peu d'autres nous rendent follement accros, et de la première à la dernière saison !
ALIAS
Avant Lost, J.J. Abrams nous avait déjà offert une oeuvre certes inégale mais très addictive aussi : Alias. Portée par une Jennifer Garner géniale, cette série d'espionnage sur l'agent double Sydney Bristow et ses aventures aux quatre coins du monde a passionné, ému et donné des sueurs froides à bien des téléspectateurs... et elle ne mérite pas de tomber dans l'oubli.
THE 100
Petite cousine de Lost, The 100 a su utiliser des ressorts scénaristiques équivalents afin de rendre son public accro, surtout lors de ses premières saisons très réussies. Pas autant de questions et de mystères, mais plein de rebondissements et de nouveaux terrains de jeu à explorer.
SCANDAL / GREY'S ANATOMY / MURDER
Cela fait partie de leur ADN même : les séries du Shondaland sont bel et bien addictives, que ce soit la (pas toujours) tendre Grey's Anatomy, la folle Scandal et l'audacieuse Murder. Et c'est d'ailleurs ainsi qu'elles ont été marketées dans le TGIT, la soirée du jeudi aux Etats-Unis qui les réunit toutes les trois, les unes à la suite des autres. A noter que Grey's Anatomy doit en partie sa longévité phénoménale grâce aux plus jeunes téléspectateurs qui la découvrent en cours de route, notamment sur Netflix, qui l'engloutissent, puis qui la regardent enfin en live !
THE GOOD PLACE
L'addiction sous forme de comédie, ça existe aussi ! Surtout quand le créateur lui-même reconnaît s'être inspiré de la structure de Lost pour construire The Good Place, l'une des rares séries de ce format-là à fonctionner avec des cliffhangers. Décalée et inventive, elle plait aussi parce qu'elle est tout simplement originale et réussie.
DESPERATE HOUSEWIVES
Il suffit de tomber malade, d'être à la retraite, au chômage, en RTT ou en congé maternité, pour se brancher sur une énième rediffusion de Desperate Housewives sur M6 et se rendre compte que même quelques années après, elle fait partie de ces séries tellement efficaces que l'on replonge dedans sans difficulté. On se surprend même à en vouloir encore et encore. Elle est bel et bien addictive à sa façon !
PRETTY LITTLE LIARS
Souvent présentée à ses débuts comme un Desperate Housewives pour ados, Pretty Little Liars fonctionnait sur la même mécanique, en distillant des indices à chaque épisode. Ce qui était sa force est d'ailleurs devenue sa faiblesse au bout de quelques saisons, à force d'étirer les mystères jusqu'à ce que plus rien ne fasse de sens. Toujours est-il qu'elle a su rendre accro des tas d'ados mais aussi d'adultes à travers le monde !
FRIENDS
Dans le genre des comédies que l'on ne peut pas s'empêcher de revoir, de binge-watcher et d'adorer sans limite, Friends est sans conteste la grande gagnante. Elle n'était pas construire pour être addictive mais elle l'est devenue par la force des choses.
MAKING A MURDERER
Les séries documentaire aussi peuvent être addictives, la preuve avec la sensation de Netflix Making A Murderer qui a passionné la Terre entière en appliquant les bonnes vieilles recettes des 24 et autres Prison Break mais dans un format différent.