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    Quelle créature de l'horreur vous a fait le plus cauchemarder ? Votez !

    Boogiemen, bêbête grimpante, monstre de la nuit, poupée tueuse... Le bestiaire de l'horreur est large mais, à l'heure d'Halloween, il vous faudra choisir... Votez pour les plus grandes créatures de l'horreur !

    D.R.

    Les films qui se passent le jour d'Halloween :

     

    Freddy - "Les Griffes de la nuit"

    Atrocement brûlé au 3e degré, habillé originellement d'un pull miteux rouge et vert et d'un chapeau en feutre cramoisi, Freddy Krueger porte en prime des gants pourvus de lames de rasoirs au bout des doigts. Tuant quand sa victime dort ou, mieux, rêve (cauchemarde plutôt), le Boogeyman de Springwood est une authentique légende du film d'horreur.

    "Annabelle"

    Enfermée dans une boite par les Warren, le couple d'exorcistes de Conjuring, la poupée possédée Annabelle a ensuite eu droit à deux films rien qu'à elle. Et autant dire que cette poupée ancienne et rare, au sourire figé et démoniaque, en a bien profité pour traumatiser tous ceux qui l'ont approchée. Même les acteurs des films en frissonnent encore ! Et dire qu'elle aurait vraiment existé... 

    Grippe-Sou - "Ça"

    Grippe-Sou, le Clown dansant, Bob Gray... La créature ancienne et maléfique, née dans le roman de Stephen King puis incarnée à l'écran par Tim Curry et Bill Skarsgård, a autant de noms et de manières de tuer que de formes différentes sous lesquelles apparaitre. Tous les 27 ans, Grippe-Sou entame un nouveau cycle de tueries, visant particulièrement les enfants de la région de Derry, dont il se nourrit des peurs...

    The Thing

    Tête coupée sur pattes d'araignée ou chien démoniaque grouillant de sanglants tentacules, cette "chose" d'origine inconnue peut aussi devenir votre coéquipier. Du dégoût le plus viscéral à la plus dérangeante paranoïa, cette créature, c'est d'abord une peur insidieuse, une terreur glaciale. Celle de l'autre.

    Pinhead - "Hellraiser"

    Surnommé le "Prince des ténèbres de la souffrance", le chef des Cénobites Pinhead -qui tire son nom des clous qu'il porte enfoncés sur son visage- est doté d'une peau presque translucide. Il est vêtu d'un habit démoniaque, tandis que son corps martyrisé (pour sa plus grande joie) porte six blessures béantes au thorax, maintenues ouvertes à l'aide de crochets écarteurs. Cauchemardesque.

    Jason Voorhees - "Vendredi 13"

    Il mesure 1m95 et pèse 120 kg. Sa tête hydrocéphale se dissimule sous un masque de hockey troué de balles et fendu par une hache. Son arme fétiche est la machette mais quand il s'agit de tuer, il sait aussi bien manier la scie, le tournevis, la débrousailleuse ou sa propre main nue… Revenant vengeur, ne ressentant ni la douleur ni la peur, Jason Voorhees est une machine tueuse immortelle. Il vous en faut davantage pour paniquer ?

    Brundlefly - "La Mouche"

    Qui n'a pas senti monter en lui la peur à mesure que s'opère la mutation lente mais palpitante du scientifique bien sous tout rapport campé par Jeff Goldblum ? Une mutation physique en mouche géante répugnante, doublée d'une mutation psychologique en monstre dénué de toute morale, qui ont changé à jamais notre vision du fameux insecte réputé (on le rappelle !) sans défense. Héros romantico-gore, Seth Brundle est une créature ambiguë, super puissante puis agonisante, de plus en plus repoussante et... cauchemardesque.

    Regan - "L'exorciste"

    Elle est jeune, elle semble innocente, a priori angélique. Elle est en réalité obscène, meurtrière et complètement démoniaque. Impossible de ne pas frissonner d'horreur face à la petite Regan, ses spasmes perturbants, ses gestes et mouvements très dérangeants, sa voix tétanisante et surtout son visage hideux. N'aurait-on pas là LA fillette la plus flippante du genre ?

    Michael Myers - "Halloween"

    Silencieux, méthodique, portant une affection particulière pour les couteaux de cuisine, Michael Myers aime rester dans les recoins sombres des pièces pour mieux fondre sur ses victimes. En dépit de ses nombreuses blessures par balles, d'un corps à moitié brûlé, d'une aiguille à tricoter enfoncée dans le cou, de défenestrations, etc...il reste increvable. La réincarnation du Mal absolu, donc.

    Le comte Orlok - "Nosferatu"

    On peine à imaginer les cris des spectateurs en 1922, lorsqu'ils découvrirent d'abord l'inquiétante silhouette puis le visage du Comte Orlok, incarné par Max Schreck. Puis ses énormes doigts crochus, ses oreilles en pointe et ses canines de vampire, faisant de ce Dracula non officiel un croisement improbable avec une chauve-souris vampire. Un personnage -et une incarnation- devenue iconique.

    Le Rayé - "Gremlins"

    Un simple morceau de poulet une fois minuit passé, et hop ! Gentil petit mogwaï devient méchant gremlin. La gentille boule de poils qui s'endormait paisiblement dans vos bras en gazouillant est désormais une bête féroce qui ne prendra de repos qu'après vous avoir égorgé. Si certains ont quand même conservé un côté sympathique malgré leurs pulsions meurtrières, le Rayé (celui qui a gardé sa crête) n'est pas là pour rigoler.

    "Candyman"

    Ne prononcez jamais son nom 5 fois devant un miroir. Car si vous l'osiez, vous feriez apparaitre Candyman et son crochet. Parmi les légendes urbaines du cinéma, l'histoire tragique de ce fils d'esclave, lynché par des barbares puis tué par des abeilles, est inoubliable. Par son passé tragique, Candyman nous touche mais sa vengeance, transformée en violence à l'encontre des habitants du ghetto de Cabrini, femmes et enfants d'abord, est tellement réelle, et souvent injuste, qu'elle a marqué au fer rouge les esprits de nombre d'entre nous...

    Chucky - "Jeu d'enfant"

    Cheveux roux, affreusement vulgaire et dépravée, habitée par l'esprit d'un tueur réincarné en elle, Chucky adore faire de l'humour (noir bien sûr) avant de tuer ses victimes. Mais elle possède en prime un rire absolument démoniaque (qui est celui de Brad Dourif en VO), reconnaissable entre tous.

    Le monstre de Frankenstein - "Frankenstein"

    Composée de morceaux de cadavres, dessinée de cicatrices et parée d'électrodes dans le cou, la créature du savant Victor Frankenstein a tout pour déplaire. Rejeté et isolé, le célèbre monstre nourrit peu à peu du ressentiment et de la haine féroce à l'égard des hommes, qui feront de lui un véritable sociopathe, incapable de distinguer le bien du mal. Un être tantôt émouvant, tantôt impitoyable qui ne peut pas ne pas troubler votre âme ambiguë et vos nuits agitées.

    Le grand requin blanc - "Les dents de la mer"

    A cause de lui, depuis que vous avez vu la scène d'intro du film de Steven Spielberg, vous n'avez plus jamais osé tremper le moindre orteil dans l'eau sans repenser à ses invisibles mâchoires, happant irrémédiablement une pauvre baigneuse qui n'avait rien demandé vers d'insondables abysses. Si le dénommé Bruce est aussi effrayant, c'est donc parce qu'il peut surgir de n'importe où, n'importe quand, et que l'océan, c'est comme l'espace. Personne ne vous y entendra crier.

    Le Creepers - "Jeepers Creepers"

    Dents aiguisées comme des lames de rasoir, griffes acérées, une hache de guerre, des dagues et couteaux....Terrifiante créature démoniaque, le Creepers sort de son hibernation tous les 23 ans pour chasser les humains afin de régénérer son corps. Et son odorat surdéveloppé lui permet de sentir au sens littéral du terme la peur chez ses victimes... Glaçant.

    Sadako - "Ring"

    LE film d'horreur ultime, c'est incontestablement celui que visionnent successivement Tomoko Oishi et Reiko Asakawa dans le classique de Hideo Nakata. Une semaine après l'avoir regardé, on meurt de peur. Littéralement. On décède. Il faut dire qu'une gamine fantôme au visage caché par de longs cheveux mouillés qui rampe lentement vers sa victime, ça peut éventuellement susciter quelques frissons. 

    L'homme pâle - "Le labyrinthe de Pan"

    Flasque et blafard comme une espèce de poisson obèse après liposuccion, l'homme pâle, non content de cacher ses yeux dans les paumes de ses mains griffues, attrape des fées au vol pour les boulotter vivantes. On sera donc fiers de lui décerner la palme de la créature la plus terrifiante ayant hanté les cauchemars de la petite Carmen. C'est amplement mérité.

    Leatherface - "Massacre à la tronçonneuse"

    Le sordide dans toute sa splendeur. Avec sa famille de dégénérés, celui qu'on nomme Leatherface, parce qu'il porte un masque fait de chair humaine, est un monstre sans pitié qui massacre, avec marteau, crochet de boucher ou tronçonneuse, au choix. N'importe quel étranger qui passe près de son horrible trou paumé devient le plat principal de ce cannibale. Et avec les restes, qu'est-ce qu'il fait ? Des costumes, des masques ou des objets pour la maison...

    David - "Le loup-garou de Londres"

    Attaqué par un mystérieux animal qui a tué l'un de ses amis, David ignore qu'il va, lui-même, devenir une bête féroce. Et plus particulièrement un loup-garou. A la suite d'une inoubliable transformation, impressionnante et douloureuse même pour le spectateur, David entame une virée sanglante dans le Londres nocturne. Une horreur distillée, un suspense insoutenable à la John Landis... pour un monstre mythique du cinéma horrifique.

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