Durotan dans "Warcraft : Le commencement" (2016)
L'acteur britannique a été à bonne école puisqu'il incarnait déjà le chimpanzé Koba dans La Planète des Singes aux côtés d'Andy Serkis. C'est donc lui qui a été choisi pour interpréter le célèbre chef de clan Orc Durotan dans l'adaptation du jeu Blizzard dirigée par Duncan Jones.
Imothep dans "La Momie" (1999)
Pour créer le personnage mi-humain mi-numérique d’Imothep, l’équipe technique du film a "capturé" les mouvements de l’acteur Arnold Vosloo et les a réutilisés pour animer la momie informatiquement. Il s'agit des tout premiers pas de la motion capture.
Jar Jar Binks dans "Star Wars : Episode I - La Menace fantôme" (1999)
Si le gungan est rapidement devenu le personnage le plus détesté de toute la saga Star Wars, il n’en est pas moins le premier protagoniste entièrement numérique de l’histoire du cinéma.
Gollum dans "Le Seigneur des anneaux" (2002)
C’est avec la mythique trilogie de Peter Jackson, et notamment avec le deuxième opus (Les deux tours) que la motion capture se fait réellement connaitre auprès du grand public, et trouve son premier véritable artiste.
Sonny dans "I, Robot" (2004)
Si son interprétation n’a pas vraiment été aussi remarquée que celle d’Andy Serkis en Gollum, c’est bien l’acteur américain Alan Tudyk qui prête sa voix, mais aussi sa gestuelle, au NS-5 Sonny.
Le contrôleur du "Pôle Express" (2004)
Pour Le Pôle Express, Robert Zemeckis et son équipe perfectionnent le processus de motion capture en y ajoutant la possibilité de capter non seulement les gestes du comédien (Tom Hanks, en l'occurence) mais aussi les expressions de son visage.
"King Kong" (2005)
Le succès de Gollum avait été trop grand pour que Peter Jackson confie à qui que ce soit d’autre que son ami Andy Serkis le rôle principal de son prochain long métrage. Pour l'occasion, le comédien incarne également le cuisinier Lumpy.
Davy Jones dans "Pirates des Caraïbes : le Secret du Coffre Maudit" (2006)
Une combinaison grise à marqueurs doublée d’une casquette : voilà l’équipement que Bill Nighy a dû porter sur le tournage du deuxième volet de la saga.
Ebenezer Scrooge dans "Le Drôle de Noël de Scrooge" (2009)
Troisième round pour Robert Zemeckis en animation et en performance capture ! Après Tom Hanks dans Le Pôle Express et Ray Winstone dans La Légende de Beowulf,c’est à Jim Carrey qu’il propose d’enfiler la traditionnelle combinaison à marqueurs.
Neytiri dans "Avatar" (2009)
C'est donc au tour de James Cameron d'expérimenter la motion capture. Après avoir attendu plusieurs années que la technologie atteigne un niveau suffisant pour lui permettre de donner vie à son projet Avatar, il s’offre les services des studios Weta.
César dans "La Planète des singes" (2011)
Après Gollum et King Kong, c’est au chimpanzé César qu'Andy Serkis prête son talent. Dans le deuxième opus de la trilogie, et pour la première fois dans l'histoire de la performance capture, le tournage a lieu dans de vrais décors.
Haddock dans "Les Aventures de Tintin" (2011)
En plus du rôle de César, Serkis coiffe en 2011 la casquette du célèbre capitaine Haddock pour le Tintin de Spielberg, intégralement tourné en performance capture et produit par Peter Jackson.
Tintin dans "Les Aventures de Tintin" (2011)
C’est le jeune Jamie Bell qui a revêtu l’imperméable du célèbre reporter aux côtés d’Andy Serkis pour le film de Spielberg.
Hulk dans "Avengers" (2012)
Déjà incarné par Eric Bana en 2003 et par Edward Norton en 2008, c’est en 2012 que le géant vert de Marvel trouve sa meilleure interprétation sur grand écran. Pour l’occasion, c’est Mark Ruffalo qui enfile le costume du physicien Bruce Banner avant de le réduire en lambeaux pour entrer dans la peau du célèbre Hulk.
Tars Tarkas dans "John Carter" (2012)
Difficile de le deviner quand on le voit débarquer avec sa tête cornue, mais ce personnage originaire de Barsoom est bel et bien incarné par Willem Dafoe.
Smaug dans "Le Hobbit : la Désolation de Smaug" (2013)
Doubler le célèbre dragon de Tolkien ne représentait que la moitié du travail pour Benedict Cumberbatch. Car en plus de faire parler la bête, l’acteur a dû lui insuffler les expressions de son visage, ses traits et ses mimiques.
"Chappie" (2015)
Pour incarner le personnage principal de son nouveau film, le réalisateur Neill Blomkamp fait appel à son acteur fétiche, Sharlto Copley. C’est donc à lui que revient la lourde tâche d’incarner un robot en performance capture, et de l’humaniser par sa voix et ses mouvements.
Edouard dans "Pourquoi j’ai pas mangé mon père" (2015)
Pour son tout premier long métrage en tant que réalisateur, Jamel Debbouze choisit de tourner intégralement en performance capture. Une des premières expériences de ce type en Europe !
Maz Kanata dans "Star Wars - Le Réveil de la Force" (2015)
En plus d'Andy Serkis (virtuellement grimé en Supreme Leader Snoke), Lupita Nyong'o s'est également essayée à la motion capture dans le nouvel opus de la célèbre saga, prêtant ses traits, sa voix et ses mouvements à l'énigmatique Maz Kanata.
"Le Bon Gros Géant" (2016)
Acteur fétiche de Steven Spielberg depuis Le Pont des Espions (2015), Mark Rylance s'est donc prêté à l'exercice de la motion capture pour incarner son Bon Gros Géant.