*Le programme Priceless® Cities, lancé en 2012 pour l’ensemble des titulaires de cartes MasterCard, donne un accès exclusif à des expériences cinématographiques uniques: avant premières, accès VIP aux festivals, rencontres d’artistes …
Qu’il s’agisse de cinéma, de gastronomie, de sport, de shopping ou de voyage, le programme MasterCard Priceless® Cities propose une sélection d’expériences et d’avantages prestigieux pour vivre les plus grandes villes internationales de façon exceptionnelle. Aujourd’hui le programme se déploie dans 43 grandes villes dans le monde.
Pour plus d’informations, consultez le site www.priceless.com/
#PricelessCities
Découvrez les autres Priceless cities :
"La Cité de la Peur" de Alain Berbérian et Alain Chabat
Ils sont venus présenter leur film d'horreur au Festival de Cannes ; film qui va faire le "buzz" suite aux meurtres inexpliqués de ses différents projectionnistes... Cannes au cinéma c'est avant tout Alain Chabat courant après un meurtrier sur la Croisette, Chantal Lauby et Dominique Farrugia cocasses au sein du Palais des Festivals... et autant de scènes cultes pour une vision de la Cité du Cinéma (ou de la Peur) décalée et inoubliable, tournant en dérision le monde impitoyable du cinéma. A noter que le film, ayant été tourné hors période festivalière, il a fallu convoquer plus de 800 figurants pour récréer l'ambiance du Festival.
"Mélodie en sous-sol" d'Henri Verneuil
Henri Verneuil met en scène Alain Delon et Jean Gabin dans son film de braquage mythique, prenant pour décor les merveilleuses côtes cannoises. Vue imprenable sur la baie, plan d'action millimétré impliquant l'Hôtel Majestic et le Casino Palm Beach... : Mélodie en sous-sol dessine (littéralement) les plus beaux plans de la Cité du cinéma. Mention spéciale à la scène dans laquelle Alain Delon roule en décapotable rouge, le port et la Croisette dans le dos.
"La Main au Collet" d'Alfred Hitchcock
Pour La Main au Collet, Hitchcock choisit la Côte d'Azur, de Nice et ses marchés, à la corniche monégasque laissant filer Grace Kelly au volant de son cabriolet bleu..., en passant par Cannes, ses plages et son célèbre Hôtel Carlton. Souvenez-vous : le mythique baiser que Cary Grant offre à la blondissime star a lieu devant la suite 623 du palace, aujourd'hui baptisée la suite "Hitchcock". Palace qui a accueilli nombre de films depuis ( Grosse Fatigue, French Kiss, Anthony Zimmer ou plus récemment Love Punch) mais qui garde un lien privilégié avec le chef d'oeuvre du maître du suspense (une suite "Grace Kell"y se tient en outre au 7e étage).
"De Rouille et d'Os" de Jacques Audiard
Cette scène est l'une des plus marquantes du film, qui voit l'héroïne interprétée par Marion Cotillard observer la mer avant de se laisser tenter par une baignade, portée par Matthias Schoenaerts. Un moment immortalisé par l'affiche du film, qui a pris place à Cannes sur la plage privée (et prisée) Goéland. Quelques mois plus tard, Jacques Audiard sera de retour dans la ville pour présenter son film achevé en compétition officielle. Deux ans après, c'est la plage des Sables d'Or qui accueillera une scène (et un feu de camp) marquante entre Guillaume Canet et Adèle Haenel pour L'Homme qu'on aimait trop d'André Téchiné.
"La Bonne Année" de Claude Lelouch
Une autre histoire de braquage mis en scène dans la ville luxueuse, cette fois autour de la bijouterie Van Cleef & Arpels (Hugo Boss aujourd'hui). Lorsque Claude Lelouch met en scène La Bonne Année en 1972, c'est l'ébullition sur la Croisette, la foule s'attroupant pour voir le cinéaste caméra à l'épaule et son acteur Lino Ventura en action, non loin de Françoise Fabian. Un retour à Cannes émouvant pour Lelouch six ans après son Grand Prix (ex Palme d'Or) pour Un Homme et une femme. A noter qu'il reviendra tourner à Cannes notamment pour Roman de gare.
"Femme Fatale" de Brian de Palma
Tapis rouge et tenues affriolantes, diamants étincelants et scènes sensuelles : Brian de Palma pose sa caméra à Cannes pour son thriller cérébral, Femme Fatale, mettant la scène la sublime Rebecca Romijn. Dès le plan d'ouverture du film, la caméra se balade dans les couloirs du Palais des Festival, non loin de... Gilles Jacob en personne. Le cinéaste américain, amoureux de la France, a fait en amont ses répérages lui-même en France, n'hésitant pas à parcourir ses villes à scooter afin de découvrir des endroits inédits (notamment à Paris).