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    Paris à l'écran : 20 lieux immortalisés par le cinéma [SPONSORISE]
    Laetitia Ratane
    Laetitia Ratane
    -Rédactrice en chef adjointe
    Très tôt fascinée par le grand écran et très vite accro au petit, Laetitia grandit aux côtés des héros ciné-séries culte des années 80-90. Elle nourrit son goût des autres au contact des génies du drame psychologique, des pépites du cinéma français et... des journalistes passionnés qu’elle encadre.

    MasterCard célèbre la magie des grandes villes du cinéma. Véritable terre d'accueil du cinéma, la capitale française a inspiré les plus grands réalisateurs. Focus sur 20 visions imprenables de la ville Lumière, une des 43 Priceless® Cities*.

    Touchstone Home Video

    *Le programme Priceless®  Cities, lancé en 2012 pour l’ensemble des titulaires de cartes MasterCard, donne un accès exclusif à des expériences cinématographiques uniques: avant premières, accès VIP aux festivals, rencontres d’artistes …

    Qu’il s’agisse de cinéma, de gastronomie, de sport, de shopping ou de voyage, le programme MasterCard Priceless® Cities propose une sélection d’expériences et d’avantages prestigieux pour vivre les plus grandes villes internationales de façon exceptionnelle.  Aujourd’hui le programme se déploie dans 43 grandes villes dans le monde.

    Pour plus d’informations, consultez le site www.priceless.com/

    #PricelessCities

    Découvrez les autres Priceless cities :

    "Inception" de Christopher Nolan

    C'est sur le célèbre pont Bir Hakeim que Leonardo DiCaprio explique à Ellen Page le principe du "rêve partagé". Un symbole de l'architecture parisienne qui accueille les premiers moments de l'intrigue signée Christopher Nolan, prompt à poser sa caméra non loin de la terrasse d'un café puis au coeur d'un boulevard haussmanien de la capitale, métamorphosée à grand renfort d'effets spéciaux.

    "Da Vinci Code" de Ron Howard

    Ron Howard est l'un des rares réalisateurs à avoir eu la chance de poser sa caméra au Louvre. Les premiers minutes de son Da Vinci Code se situent en effet dans les couloirs du sacro saint musée parisien où, de nuit, Tom Hanks et Audrey Tautou mènent l'enquête.

    "Moulin Rouge" de Baz Luhrmann

    C'est au coeur du plus célèbre des cabarets parisiens que Baz Luhrmann met en scène la romance passionnée (et en chanson s'il vous plaît) entre Nicole Kidman et Ewan McGregor. A noter que ce lieu mythique a inspiré de nombreux cinéastes, parmi lesquels Jean Renoir (French Cancan), Roger Planchon (Lautrec) ou John Huston (Moulin Rouge).

    "Rush Hour 3" de Brett Ratner

    Après Mimi-Siku, le héros d'Un Indien dans la ville, c'est au tour de Jackie Chan et Chris Tucker de cotoyer de près la Tour Eiffel, grande dame de fer qui après Hong Kong, Los Angeles et Las Vegas accueille les cascades (réelles) et les délires (dévastateurs) de l'improbable duo de Rush Hour 3

    "La Mémoire dans la peau" de Doug Liman

    Après s'être promené le long des quais de Seine animés par ses fameux bouquinistes, Matt Damon alias Jason Bourne se cache sur le toit du grand magasin (aujourd'hui fermé) La Samaritaine, nous offrant une vue plongeante sur le Pont Neuf (un point de vue que l’on retrouve dans Holy Motors de Leos Carax). Un parcours parisien qui, dans La Mémoire dans la peau, a débuté sur l'Ile saint Louis, non loin de Notre Dame, puis près du Trocadéro.

    "Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain" de Jean-Pierre Jeunet

    Qui mieux que Jean-Pierre Jeunet a su immortaliser Paris, redorant même l'image de la sublime capitale aux yeux de ses propres habitants ? Avec Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain, la butte Montmartre et le goût de vivre à la française n'ont jamais été aussi (universellement) apprécié.

    "Armageddon" de Michael Bay

    Une vision panoramique de Paris avant la destruction totale : pour les besoins d'Armageddon, Michael Bay réduit en cendres la capitale française, dans une débauche d'effets spéciaux... détonants.

    "Inglourious Basterds" de Quentin Tarantino

    C'est après l'avoir vu dans Le Sang des Autres de Claude Chabrol que Quentin Tarantino choisit de poser sa caméra dans l'un des plus traditionnels bistros parisiens, celui de La Renaissance. Dans Inglourious Basterds, c'est également dans les flammes d'une salle de cinéma parisienne que brûleront Adolf Hitler et ses hauts dignitaires nazis. Ce n'est pas rien.

    "Marathon Man" de John Schlesinger

    Après les avenues de Manhattan, John Schlesinger fera courir Dustin Hoffman alias Marathon Man jusque dans les rues de Paris, dans une atmosphère quelque peu oppressante. Une parenthèse narrative mémorable, que ce soit par sa scène d'agression déstabilisante ou ses errances noctures angoissantes.

    "Minuit à Paris" de Woody Allen

    "Si je n'habitais pas à New York, je vivrais à Paris" : grand admirateur de la Ville-Lumière, Woody Allen la met en scène dans Minuit à Paris en mettant en avant son aspect carte postale et son patrimoine culturel, avec nostalgie et romantisme. Un Paris magique, un Paris d'un autre temps que Marion Cotillard et Owen Wilson parcourent amoureusement.

    "Charade" de Stanley Donen

    Déambulation sur les quais de Seine, non loin du Palais Royal, dans les jardins des Champs Elysées ou encore dans les sous sols du métro : mêlant charme typiquement parisien et atmosphère résolument hichcockienne, Stanley Donen promène les mythiques Audrey Hepburn et Cary Grant au coeur de la capitale, dans Charade.

    "Dangereusement vôtre" de John Glen

    C'est à Chantilly que se déroule Dangereusement vôtre, la demeure étant celle du cruel Max Zorin de la saga James Bond. La Tour Eiffel est également l'un des lieux d'action choisis par John Glen, qui offre en outre au top model Grace Jones l'occasion d'effectuer en personne un impressionnant saut : une chute de 3 mètres amortie par des cartons.

    "Les Quatre Cents coups" de François Truffaut

    C'est à Paris que débutent les aventures de Jean-Pierre Léaud alias l'Antoine Doinel aux Quatre Cents Coups. Sous l'oeil de François Truffaut (comme par la suite de nombreux metteurs en scène de La Nouvelle Vague) se déploie une capitale populaire, filmée en Cinémascope. Le cinéaste s'attachera à peindre le Paris de son enfance (notamment sous l'Occupation dans Le Dernier Métro) tout au long de sa carrière.

    "Hugo Cabret" de Martin Scorsese

    C'est un Paris de conte de fée que met en scène Martin Scorsese dans Hugo Cabret, qui redécore à la mode des années 30 la bibliothèque Sainte-Geneviève, le square Louis-Jouvet et la place Edouard VII. A noter que la gare dans le film, censée être la Gare Montparnasse, est un mélange de la Gare du Nord et la Gare de Lyon.

    "Comment voler un million de dollars" de William Wyler

    C'est sous la houlette de William Wyler qu'Audrey Hepburn se retrouve de nouveau à Paris, aux côtés cette fois de Peter O'Toole. Comment voler un million de dollars est son sixième film tourné dans la capitale après Sabrina, Ariane, Drôle de frimousse, Charade et Deux têtes folles. A noter que la villa Bonnet du film est en fait un hôtel particulier de Neuilly construit par Charles Garnier, architecte de l'Opéra Garnier.

    "Munich" de Steven Spielberg

    Lorsqu'en 2005 Steven Spielberg pose sa caméra à Paris, c'est l'effervescence. Non loin du pont Bir-Hakeim, près de la Tour Eiffel, le réalisateur recrée un marché parisien des années 70 pour les besoins d'une scène de son drame historique. La traque des terroristes se joue dans une capitale française sombre où, sur les fameuses colonnes Morris, on peut apercevoir les affiches de trois comédies françaises de l'époque : Les Gaspards de Pierre Tchernia, Moi y'en a vouloir des sous de Jean Yanne et Docteur Popaul de Claude Chabrol.

    "Nikita" de Luc Besson

    Restaurant gastronomique situé dans le hall de la gare de Lyon, Le Train Bleu est habillé de ses traditionnelles boiseries, peintures, nappes blanches et banquettes en cuir avant de devenir le champ de bataille d'Anne Parillaud alias Nikita de Luc Besson.

    "Un Américain à Paris" de Vincente Minelli

    Réalisé essentiellement dans les studios de la MGM, Un Américain à Paris ne propose que deux plans tournés réellement dans la capitale. En musique, Vincente Minnelli nous offre une imagerie stéréotypée de la ville et de ses quais de seine, propices à l'inspiration artistique et à la romance passionnée de Gene Kelly.

    "L'Etudiante" de Claude Pinoteau

    Dans le film culte de Claude Pinoteau, Paris est la ville étudiante par excellence, dont l'architecture et la culture rythment la quête de la passionnée et studieuse Sophie Marceau, de Beaubourg à la bibliothèque Sainte Geneviève en passant par la mythique Sorbonne.

    "Monpti" de Helmut Käutner

    C'est une nouvelle fois le Quartier Latin et plus spécifiquement le Jardin du Luxembourg ici, qui obtient les faveurs d'Helmut Käutner, pour Monpti, l'histoire d'un pauvre hongrois qui, débarqué à Paris, tombe éperdument amoureux d'une charmante jeune fille de 17 ans. A noter que la très jeune Romy Schneider reviendra tourner dans notre capitale, notamment pour La Banquière, situé entre autres dans le fameux Palais Brogniart.

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