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    Buster Keaton en 10 photos burlesques
    Thomas Imbert
    Thomas Imbert
    -Chef de rubrique - Infotainment
    De la Terre du Milieu aux confins de la galaxie Star Wars en passant par les jungles de Jurassic Park, il ne refuse jamais un petit voyage vers les plus grandes sagas du cinéma. Enfant des années 90, créateur des émissions Give Me Five et Big Fan Theory, il écrit pour AlloCiné depuis 2010.

    A l'occasion des 50 ans de sa disparition, retour en images sur la carrière du légendaire acteur comique Buster Keaton...

    Bettmann/CORBIS

    Explosif dans "La Croisière du Navigator"

    Tout au long de sa carrière, par opposition à Charlie Chaplin, Buster Keaton est surnommé "l'homme qui ne rit jamais" à cause de son éternelle expression impassible.

    Caché dans "Le Mécano de la Générale"

    En France, dans ses premiers courts métrages, Buster Keaton se fait souvent appeler Frigo, Malec ou encore Fatty. Très vite, il se met à réaliser ses propres longs, comme Le Mécano de la Générale (1926) ou La Croisière du Navigator (1924), qui comptent parmi les plus célèbres.

    Canon dans "Le Mécano de la Générale"

    Buster Keaton assurait lui-même ses cascades, allant parfois jusqu'à prendre des risques importants. Dans cette scène du Mécano de la Générale, il s'est par exemple cogné contre un canon.

    Sportif préhistorique dans "Les Trois Ages"

    Keaton s'adonne également à la parodie. Ce long métrage de 1923 est notamment un pastiche de la célèbre fresque Intolérance de D.W. Griffith.

    Sur les rails dans "Le Mécano de la Générale"

    Pour les besoins du Mécano de la Générale, Keaton exigea la construction de deux locomotives parfaitement identiques pour tourner la poursuite en décors naturels. Le film comporte également le plan le plus cher de tout le cinéma muet : la destruction du pont, qui coûta 42 000 dollars.

    En mauvaise posture

    Bien avant DiCaprio dans The Revenant, Buster Keaton affrontait déjà les ours...

    En état d'arrestation dans "Le Caméraman"

    Réalisé en 1928, Le Caméraman est le dernier chef-d’œuvre de Buster Keaton en tant que réalisateur.

    Buster Keaton écoute sa propre voix

    Avec l'arrivée du cinéma parlant au début des années 1930, la carrière de Keaton connait un véritable déclin et l'acteur sombre peu à peu dans l'alcool et la dépression, ne se voyant plus confier que des rôles secondaires.

    Avec Charlot

    En fin de carrière, Keaton apparait dans le mythique Boulevard du crépuscule (1950), où il dispute une partie de carte avec Eric von Stroheim, et partage l'affiche des Feux de la Rampe (1952) avec Charlie Chaplin, son éternel rival comique.

    Pensif

    En 1959, Buster Keaton se voit récompenser par un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.

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