Fast & Furious 7 plus fort que Hunger Games et The Dark Knight. Le septième opus de la franchise motorisé, événement cinéma mondial de ce week-end de Pâques 2015, réalise un démarrage en trombe pour son premier jour dans les salles américaines : 67,3 millions de dollars, soit le dixième meilleur premier jour de l'histoire, devant les premiers Jeux de la Faim de Katniss Everdeen (67,2 M$) et le deuxième volet de la trilogie de Christopher Nolan (67,1M$). Deux films pourtant lancés sur un plus grand parc d'écrans.
Tous les pronostics annoncent donc un premier week-end record pour Vin Diesel et ses compagnons de route, qui pourraient inscrire "Furious 7" au panthéon des meilleurs démarrages de tous les temps. Symbole de ces débuts fracassants : le film engrange en un petit tour de piste plus de recettes que Fast & Furious : Tokyo Drift en... 14 semaines d'exploitation. En 2006, le "pas vraiment troisième épisode" avait ainsi terminé sa carrière outre-Atlantique à 62,5 millions de billets verts.
Heureusement que Dom "Diesel" Toretto débarquait durant le final lors d'un sympathique caméo pour reprendre sa franchise en main. Depuis, celle-ci est toujours plus rapide, plus furieuse et plus rentable.
Fast & Furious 7 : le tournage en mode GoPro