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    Julianne Moore : retour sur ses 15 rôles les plus marquants

    Après avoir été nommée pour "Boogie Nights", "La fin d'une liaison", "The Hours" et "Loin du Paradis", Julianne Moore a enfin remporté un Oscar de la Meilleure Actrice pour son rôle dans "Still Alice". Retour sur ses 30 ans de carrière en images...

    "Still Alice" est à découvrir en salles dès le 18 Mars :

     

    Dans "Still Alice" (2015)

    Il aura fallu attendre plus de 25 ans de carrière et son rôle de femme atteinte de la maladie d'Alzheimer dans Still Alice pour qu'enfin Julianne Moore soit récompensée par l'Académie des Oscars. Une prestation à découvrir en salles chez nous à partir du 18 Mars.

    Dans "Le Monde Perdu" (1997)

    10 ans après avoir débuté sa carrière dans le soap "As the world turns", c'est lorsqu'elle part à l'aventure pour Le Monde Perdu : Jurassic Park que le monde entier fait la connaissance de Julianne Moore, aux côtés de Jeff Goldblum. Dès lors, elle aurait pu devenir une reine de la science-fiction mais elle choisit une autre voie...

    Dans "The Big Lebowski" (1997)

    La même année, Julianne Moore décroche l'un des rôles principaux de The Big Lebowski (ici avec son partenaire Jeff Bridges lors de l'avant-première) signé par les Frères Coen. Elle y incarne une femme fatale, le genre de rôle qui lui colle à la peau par la suite.

    Dans "Boogie Nights" (1998)

    Selectionnée aux Oscars dans la catégorie Second Rôle Féminin pour Boogie Nights, où elle incarne une star du porno, Julianne Moore repart bredouille de la cérémonie.

    "La Fin d'une Liaison" (1999)

    Julianne Moore est à nouveau nommée aux Oscars, cette fois pour un premier rôle, son premier, dans le film d'époque La Fin d'une Liaison de Neil Jordan.

    Dans "Magnolia" (1999)

    Elle retrouve le réalisateur Paul Thomas Anderson pour son chef d'oeuvre Magnolia.

    Dans "Hannibal" (2001)

    L'actrice devient Clarice Starling dans la suite du Silence des Agneaux, Hannibal, où elle remplace ainsi Jodie Foster. L'accueil critique est mauvais, mais Julianne Moore n'en est pas considérée comme la principale responsable.

    Dans "Loin du Paradis" (2002)

    Dans Loin du Paradis, elle est filmée par Todd Haynes, après leur collbaration précédente sur Safe. Ce ne sera pas leur dernière collaboration puisqu'il la retrouvera en 2007 pour I'm not There, où elle incarne la chanteuse Joan Baez.

    Dans "The Hours" (2002)

    Julianne Moore entre définitivement dans la cour des grand(e)s lorsqu'elle partage l'affiche de The Hours, avec Meryl Streep et Nicole Kidman. Mais elle est la seule qui n'obtient aucun prix pour son interprétation.

    Dans "Les fils de l'homme" (2006)

    Julianne Moore embarque dans l'univers de science-fiction du Mexicain Alfonso Cuaron pour Les fils de l'homme, en compagnie de Clive Owen.

    Dans "A Single Man" (2009)

    Elle est resplendissante, éblouissante même, sous l'oeil de Tom Ford pour son premier film, le très soigné A Single Man.

    Dans "Tout va bien..." (2009)

    Elle est naturelle, émouvante, dans le long-métrage de Lisa Cholodenko The Kids are alright, dans lequel elle forme un couple dans la tourmente avec Annette Bening.

    Dans "Game Change" (2012)

    Pour les besoins d'un téléfilm de prestige HBO, Julianne Moore prend les traits de la femme politique Sarah Palin. Elle est bluffante dans Game Change, et obtient pour ce rôle un Golden Globe. La télé l'accueille aussi en guest dans plusieurs épisodes de la comédie 30 Rock.

    Dans "Map To The Stars" (2014)

    Pour le film de Cronenberg où elle surprend, la star gagne le prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes (ici sur les Marches lors de l'avant-première).

    Dans "Hunger Games : la révolte" (2014)

    Elle accepte de devenir la Présidente Alma Coin dans les deux derniers opus de la saga Hunger Games.

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