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    L'argent : la seule vraie valeur

    Le fric, le fric et encore le fric. La principale règle du cinéma tient en 4 lettres. Et dernièrement, ce phénomène n'est pas prêt de s'enrayer.

    L'industrie du cinéma a engendré une véritable machine financière ou les flux monétaires circulent avec autant de vigueur qu'à la bourse. Les enjeux financiers deviennent de plus en plus considérables à tous les niveaux : coûts de production des films, exploitation mercantile où encore procès intentés par quelques stars irritables. Et lorsqu'on est aussi perfectionniste et minutieux que Georges Lucas, inutile de dire que le budget consacré à la réalisation d'un film se retrouve dilapidé à vitesse grand V.

    Ce dernier, passablement contrarié par la médiocre qualité des scènes du quatrième épisode de la guerre des étoiles tournées cet hiver, a tout simplement décidé de refaire presque la moitié du film dans le désert tunisien. Mais pour les producteurs, ce genre de tracas financier représente peu de chose par rapport à la peur bleue que leur inspire un procès intenté par une star. Et quand cette star pèse plus de 20 millions de dollars par film, elle se prénomme forcément Leonardo Di Caprio. De quoi faire facilement grimper les enchères lors d'une éventuelle action de justice.

    Dans ces conditions, pour ne pas prendre le moindre risque, les avocats du studio et des acteurs s'assurent qu'aucune ambiguïté ne subsiste dans le contrat. C'est ainsi que les producteurs de 'The Beach', viennent de réaliser que pas la moindre ligne du contrat ne mentionnait que Leo Di Caprio aurait à tourner des scènes de nu en janvier prochain. Or, Di Caprio n'a jamais beaucoup apprécié que l'on puisse apercevoir son appendice viril à l'écran. Malgré tous les efforts des producteurs pour l'avertir, Leo reste injoignable. La coqueluche d'Hollywood doit sans doute être trop occupée à monter sur les tables des boîtes branchées de L.A.G.P

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