L'Union des producteurs de films (UPF) affirme que la part de marché du film français pour 1997 s'élève à environ 36 pour cent et non 31 pour cent comme cela a été publié. Elle demande au Centre national de la cinématographie (CNC) d'apporter 'un démenti formel aux chiffres faux qui circulent actuellement' et qui 'portent préjudice à l'industrie du cinéma français en minimisant son audience auprès du public'. L'UPF met en cause les chiffres publiés au début du mois par la Fédération nationale des cinémas français qui faisait par ailleurs état de 148 millions d'entrées en 1997, soit le meilleur score depuis 1986 (167,8 millions). 'L'UPF considère qu'il est de la responsabilité du CNC, seule instance autorisée à fournir des chiffres officiels, de faire en sorte que la vérité soit rétablie au plus vite' et de 'prendre toute disposition auprès des organisations concernées pour éviter que des informations inexactes soient diffusées'. (AFP)
La part du film français est sous-estimée selon l'UPF. En 1997, elle s'élèverait à 36 pour cent et non 31 pour cent.