En Pologne, comme un peu partout en Europe, le cinéma national se fait flinguer par les films d'action américains. Conséquence de la chute du communisme bien évidement. Même si Kieslowski et Andrzej Wada ont connu le succès international, les seules productions polonaises qui marchent ne sont que des copies de films d'action américain. Et quand Jerzy Hoffman sort du lot avec le dernier épisode de sa trilogie sur l'âge d'or polonais d'après Henryk Sienkiewicz, les critiques s'acharnent. En Pologne, on désire se tourner vers l'avenir. Hier pourtant, le cinéma polonais avait meilleur mine.
La création polonaise s'écroulerait-elle comme le mur ?