La série évènement Outer Range est enfin sur Prime Video ! Elle est disponible au rythme de 2 épisodes par semaine.
Les Goonies
Le film qui a bercé l’enfance de nombre d’entre nous, est aussi celui qui a révélé Josh Brolin au grand public. Devenu culte dès sa sortie en 1985, Les Goonies raconte l’histoire de quatre enfants partant à l’aventure afin de trouver le butin d’un pirate légendaire, dans le but de sauver leur quartier de la démolition. Aux commandes, on retrouve Richard Donner à la réalisation, et Chris Columbus et Steven Spielberg au scénario : un trio légendaire qui nous offre une bonne dose de nostalgie et d'insouciance.
Josh Brolin y joue Brand, le grand frère de Mickey, protagoniste principal. Orné de son bandana rouge et obsédé par la muscu, il est parfaitement casté pour le rôle de l’ado désabusé par sa situation familiale. Un classique qui n’a pas pris une ride !
No Country for Old Men
En 2008, les frères Joel et Ethan Coen reviennent au polar avec No Country for Old men. Affublé de sa plus belle moustache et de son chapeau de cow-boy, Llewelyn Moss, campé par Josh Brolin, tombe par hasard sur une scène de fusillade de gangsters. Au beau milieu des cadavres, il trouve une mallette contenant 2 millions de dollars en petites coupures, et part avec sans hésiter.
Mettant en scène une course-poursuite entre un shérif désabusé joué par Tommy Lee Jones et un Javier Bardem glaçant en tueur à gages psychopathe, le film fait l’unanimité avec, entre autres, 4 Oscars et 2 Golden Globes… No Country for Old Men : un classique de ces 20 dernières années, absolument immanquable.
Sicario
Dans Sicario, Josh Brolin incarne Matt Graver, le chef d’une unité d’élite opérant dans la guerre des cartels mexicains. Sa nouvelle recrue Kate Macer, interprétée par Emily Blunt, est une jeune idéaliste légèrement naïve. L’enfer de la guerre se révèle impitoyable pour elle, car pour les briscards de l’escouade de choc, la fin justifie toujours les moyens.
Entre scènes à haute tension et cynisme poisseux, le déchaînement de violence est brutal dans ce film réalisé par Denis Villeneuve, à qui l’on doit plus récemment Premier Contact, Blade Runner 2049, et bien sûr Dunedans lequel il retrouve Josh Brolin en Gurney Halleck.
W. : L'Improbable Président
L’un des rôles les plus marquants de la carrière de Josh Brolin est certainement celui du Président des Etats-Unis George W. Bush, dans W. : L’Improbable Président. Si le film d’Oliver Stone n’a pas eu le succès escompté à sa sortie en 2008, sa présence dans le catalogue Prime Video est l’occasion de le rattraper.
Sa relation conflictuelle avec un père ambitieux, ses conférences de presse hasardeuses ou sa transformation en chef de guerre après le 11 septembre : Josh Brolin campe brillamment le 41e Président américain dans ce film à mi-chemin entre la satire et le drame historique. Et l’acteur offre au passage l’un des accents texans les plus convaincants !
Everest
Everest, sorti en 2015, retrace le drame survenu en 1996 sur le plus haut sommet du monde, lors de la disparition de huit personnes. Succès mondial au box-office, le récit émouvant de la tragédie a permis à Josh Brolin d’endosser le rôle de Beck Weathers, un Texan traversant une dépression et pour qui l’ascension est une étape majeure de sa guérison. Le film est d’ailleurs une adaptation du livre autobiographique de ce même Beck.
Tourné dans des conditions quasi-réelles, en haute montagne et par des températures allant jusqu’à -30°C, le film se veut le plus réaliste possible. Josh Brolin et Jake Gyllenhaal ont d’ailleurs été impressionnés par les effets du manque d’oxygène sur l’organisme lors de leur préparation.
Last days of Summer
A l’affiche en 2013 de Last Days of Summer au côté de Kate Winslet, Josh Brolin surprend ses fans. Il y incarne Frank, un détenu évadé de prison prenant un adolescent et sa mère en otage afin de fuir la police. Mais la relation entre les captifs et lui va se transformer en une forme de coopération, leurs blessures respectives se faisant écho.
Avec ce rôle, Josh Brolin nous démontre sa capacité à jouer dans un registre plus intimiste, sentimental, et laisse même entrevoir une certaine fragilité. Il prouve là une fois de plus la variété de la palette dont il dispose en tant qu’acteur.