De quoi ça parle ?
Marie Lemaire, la trentaine, est empoisonnée lors d’un diner où est regroupée l’association des commerçants de Biot. Elle est l’héritière de la plus grosse verrerie de la ville, suite au décès de son mari François. Tous les convives sont de potentiels suspects. Nos enquêteurs doivent démêler le vrai du faux, vérifier les alibis, chercher les mobiles.
Deux jours plus tard, une des convives, Olivia Rousseau meurt aussi empoisonnée. Elle laisse une lettre où elle s’accuse du meurtre de Marie et déclare s’être suicidée. L’affaire serait close sans les intuitions de la vice-procureure Elisabeth Richard, persuadée que le véritable assassin court toujours...
Crime à Biot, réalisé par Christophe Douchand et écrit par Jean Falculète et Frédéric Faurt.
Avec Florence Pernel, Guillaume Cramoisan, Lola Dewaere, Matthieu Burnel, Gwendoline Gourvenec, Stéphane Blancafort, Marianne Basler, Florent Peyre, ...
Mardi 14 décembre à 21h05 sur France 3, et d'ores et déjà disponible sur Salto.
Ce qu'en pense la presse ?
Selon Télé Loisirs :
"Un suspense savamment entretenu." 3,5/5
Selon Télé Z :
"Biot, ses mimosas, ses oliviers, son artisanat d’art et… ses impénétrables secrets claniques. Le climat est ensoleillé, le ton plaisant, l’intrigue légère et sans prétention." 3,5/5
Selon Télé 7 Jours :
"L'enquête s'étire un peu, mais quel plaisir de retrouver la pétillante Florence Pernel en vice-procureure un brin fantasque. Le guest Stéphane Blancafort apporte le côté chaleureux qu'on lui connaît dans Tandem." 3/5
Selon Télé Câble Sat :
"Au-delà de l'intrigue, plutôt classique, l'intérêt de cet épisode réside dans sa bande d'interprètes, qu'ils soient guests ou réguliers." 3/5
Selon Le Parisien :
"Tout ça est très classique, et on ne peut s'empêcher de soupirer tant les ficelles sont grosses et les dialogues parfois gauches. Et pourtant, le jeu de la comédienne principale, son personnage un peu fantasque et rigolo apportent une bonne dose de fraîcheur et d'humour." 3/5
Selon Télérama :
"On cherche en vain la moindre trace d’originalité dans cette histoire ultra prévisible, où chaque scène semble un prétexte pour retarder indéfiniment le moment de la révélation finale. (...) Ennuyeux au possible." 0,5/5
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