De quoi ça parle ?
Un policier rebelle aux méthodes peu orthodoxes enquête sur un massacre commis dans un lycée israélien par des assassins portant des masques de licorne.
Un miroir de notre société
L’Israël occupe une place de choix dans le paysage audiovisuel mondial, surtout du côté des séries. Le pays excelle particulièrement dans le genre policier et le thriller. Un mélange que l’on retrouve justement dans Blackspace, que les abonnés Netflix peuvent binge-watcher dès à présent.
La série s’attaque à un sujet délicat, celui des fusillades en milieu scolaire. Nous sommes cette fois dans un lycée : quatre étudiants ont trouvé la mort après une attaque surprise. Rami Davidi (Guri Alfi) arrive sur scène et infiltre les lieux pour retrouver les meurtriers. Peu de temps après, trois travailleurs d’origine palestinienne sont arrêtés. Mais le policier ne croit pas en leur culpabilité.
En enquêtant, il va découvrir que les coupables se trouvent parmi les lycéens ou les professeurs : il doit démêler le vrai du faux et trouver les meurtriers parmi 421 suspects. Blackspace tire son nom du réseau social utilisé par les lycéens pour parler entre eux. C’est dans cette application que Davidi va trouver des indices sur cette fusillade meurtrière…
Cette nouvelle série écrite par Sahar Shavit et Anat Gafni devrait plaire aux fans de thriller psychologique, avec sa dose de suspense et de rebondissements. Blackspace ne tombe pas dans la facilité politique et se présente plutôt comme un miroir de notre société et du danger d’internet.
La saison 1 est composée de 8 épisodes de 52 minutes. Une saison 2 a d’ores et déjà été commandée.