Les Bonnes intentions de Gilles Legrand
Avec Agnès Jaoui, Alban Ivanov, Tim Seyfi...
Le saviez-vous ? Alban Ivanov incarne une fois de plus avec brio, après ses prestations dans Le Sens de la fête et Le Grand bain, un loser magnifique. "Je pense que ce comédien ira loin. Il a la force d’un Jacques Villeret moderne. Son potentiel comique est énorme, et c’est surtout son humanité qui le distingue. Il peut être très émouvant.", note Gilles Legrand.
Avec Jovan Adepo, Wyatt Russell, Pilou Asbæk...
Le saviez-vous ? Julius Avery a été particulièrement interpelé par le scénario en raison de son contexte historique. Son grand-père, vétéran australien de la campagne d’Afrique du Nord des Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, lui racontait ses souvenirs et son expérience quand il était enfant : "Il me faisait assoir sur ses genoux et me montrait ces photos sidérantes. Depuis cette époque, je rêvais de faire un film se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale".
Avec Vincent Lacoste, Isaure Multrier, Stacy Martin...
Le saviez-vous ? Etre plus frontal dans les événements et les émotions a-t-il modifié le rapport à la mise en scène pour Mikhaël Hers ? Le cinéaste répond : "Je pense qu’on est du coup un peu plus proche des personnages, notamment à travers le découpage. Il y a davantage de plans rapprochés sur les visages et peut-être moins de travellings sur les lieux. Formellement, je voulais que le film soit le plus pur et le plus simple possible."
Les Filles du soleil de Eva Husson
Avec Golshifteh Farahani, Emmanuelle Bercot, Zübeyde Bulut...
Le saviez-vous ? Si, pour son précédent film Bang Gang (Une Histoire D'Amour Moderne), son casting était majoritairement composé de jeunes acteurs plutôt méconnus (à l'exception du très à la mode Finnegan Oldfield), Eva Husson a confié les personnages principaux des Filles du soleil à deux comédiennes chevronnées. Ainsi, Golshifteh Farahani joue la combattante kurde Bahar et Emmanuelle Bercot incarne la journaliste de guerre borgne Mathilde.
Avec Kheiron, Catherine Deneuve, André Dussollier...
Le saviez-vous ? Les Mauvaises herbes est le deuxième long métrage de Kheiron après Nous trois ou rien (2015). Pour ce nouveau film, le metteur en scène a voulu parler d'un thème qui le touche particulièrement : l’éducation. "Je souhaitais surtout aborder des thématiques qui me tiennent à coeur comme, par exemple, la rédemption, la communication ou la chance de pouvoir accueillir en France des gens qui viennent de loin et qui enrichissent notre culture", précise-t-il.
Ága de Milko Lazarov
Avec Mikhail Aprosimov, Feodosia Ivanova, Galina Tikhonova...
Le saviez-vous ? Ága est un hommage à Nanouk l’Esquimau de Robert Flaherty. Milko Lazarov confie : "Nanouk n’est en aucun cas un documentaire, comme on le sait. Flaherty a tout mis en scène. Il a dirigé ses personnages et a recréé toutes les situations. Il s’agit d’une fiction, tout comme mon film."
The Mumbai Murders de Anurag Kashyap
Avec Nawazuddin Siddiqui, Vicky Kaushal, Sobhita Dhulipala...
Le saviez-vous ? Le réalisateur Anurag Kashyap s'est fait connaître avec Gangs of Wasseypur - Part 1 et 2, films de gangster présentés à la Quinzaine des réalisateurs en 2012. Il retourne sur la Croisette l'année suivante avec le thriller poisseux Ugly.
L'Enfance d'un maître de Jeanne Mascolo de Filippis, Bruno Vienne
Le saviez-vous ? Tout a commencé par un film sur l’histoire de l’intronisation d’un enfant lama tibétain pour Faut pas rêver, sur France 3. Kalou avait alors 2 ans. Il allait être reconnu par le Dalaï-Lama comme étant la réincarnation d’un grand maître tibétain disparu mais toujours vénéré. Jeanne Mascolo de Filippis et Bruno Vienne se sont alors posé les questions suivantes : qu’allait être le destin de cet enfant ? Savait-il ce qui l’attendait ? Comment allait-il porter un tel héritage ? Qu’est-ce qu’une réincarnation, un dieu vivant ?
Trois petits rêves de Chapour Haghighat
Avec Qurban Sabir, Siyvush Abdulloev, Zaurbek Abdulloev...
Le saviez-vous ? "Depuis longtemps je voulais écrire et réaliser un film sur la vie sociale des enfants en Iran", explique le réalisateur. Selon lui, la société iranienne ne prend pas en compte les enfants. C'est pourquoi il souhaitait à l'origine faire jouer des enfants des villages iraniens mais cela était trop compliqué. Il a donc décidé de tourner au Tadjikistan, un pays de langue persane très lié historiquement et culturellement à l’Iran. Il décrit son long-métrage comme un conte, à mi-chemin entre réalité et fiction lui permettant de "parler de l’injustice dans ce pays. De l’arbitraire du pouvoir, du manque de respect à l’égard des lois et des droits de l’homme".
Avec Albertino Lobo
Le saviez-vous ? Leonor Teles a choisi de restituer cette chronique familiale sur quatre saisons. "C’est une façon de montrer que les personnages ne sont pas les seuls qui évoluent, tant sur le plan physique que psychologique. Tout ce qui les entoure – la lumière, la couleur du paysage, le fleuve – est également en mouvement : les espaces ne sont pas statiques et ont eux aussi beaucoup d’histoires à raconter", confie la réalisatrice.