Adrien, 40 ans, mais totalement immature, se fait larguer par Maude, désireuse de fréquenter, disons... un adulte. Pour reconquérir l’amour de sa vie, Adrien décide de monter dans le futur ex-appartement conjugal... une crèche à domicile ! C'est le pitch barré et inédit de Daddy Cool, la nouvelle comédie de Maxime Govare, qui nous avait offert en 2015 la surprise Toute première fois.
Cette fois, le réalisateur confie les rênes de son film, non à Pio Marmai, mais à un autre acteur solaire de notre cinéma : Vincent Elbaz. Découvert dans les années 90 grâce à Cédric Klapisch et son Péril jeune, l'acteur n'a ensuite cessé de naviguer entre les genres, passant du polar (Le dernier gang) au film d'action (L'Assaut) sans oublier le drame (Primaire).
Mais, Vincent Elbaz, c'est aussi, et depuis Le Péril Jeune, un grand nom de la comédie. De la comédie ultra populaire (La Vérité si je mens) à la comédie plus intimiste livrée par Rémi Bezançon (Ma vie en l'air) ou plus grinçante signée Eric Toledano & Olivier Nakache (Tellement proches), l'aura de Vincent Elbaz a touché des réalisateurs et des horizons comiques très différents. En témoigne sa participation essentielle au feel-good movie du début de l'année, Il a déjà tes yeux.
De Chabert à Adrien, de Dov à Manu... A notre micro, l'acteur a accepté de revenir sur ses plus grands rôles du genre !
