En 2013, Asghar Farhadi, qui s'est fait connaitre partout dans le monde avec Une séparation (Oscar et César du Meilleur film étranger en 2012) est en lice pour la Palme d'Or avec Le Passé. Si le réalisateur iranien repart bredouille, Bérénice Béjo, tête d'affiche de ce drame tourné en France, repart avec le Prix d'interprétation féminine. Le Client, dans la course à la Palme, parviendra-t-il à convaincre le jury ? La réponse demain soir.
- Caroline Vié / 20 Minutes : "Entre polar et étude pyschologique, ce très beau film confirme le talent sensible de son auteur. Le client se révèle un concurrent sérieux pour la Palme d’or." Lire la critique complète
- Marilyne Letertre / Metronews : "Dans ce drame domestique au suspense réaliste, tout ou presque se dessine dans la pudeur, les silences, les regards. Aussi délicat que percutant, et donc très probablement présent au palmarès cannois." Lire la critique complète
- Pierre Murat / Télérama : "Le côté Pirandello (« à chacun sa vérité ») qu'a toujours apprécié le cinéaste, vire, ici, au mélo moralisateur. Tout les personnages semblent constamment jugés et jamais pardonnés (…) La sensibilité de Farhadi est devenue un système. On n'y croit plus. » Lire la critique complète
Asghar Farhadi nous livre un joyau finement ciselé
Owen Gleiberman / Variety : "Asghar Farhadi, maître du cinéma iranien à qui l'on doit "Une séparation" et "Le Passé", nous livre un joyau finement ciselé." Lire la critique complète
- Deborah Young / The Hollywood Reporter : "Un manque de subtilité et un sens du drame forcé, conduisent ici à quelques moments ennuyeux, pour ne pas dire pénibles. Mais tout est pardonné grâce à la scène finale, qui laisse le spectateur pantois. Une scène intense, à couper les souffle." Lire la critique complète
- Aurélien Allin / CinemaTeaser : "Construit avec soin (...) le scénario du CLIENT prouve une nouvelle fois la rigueur d’écriture de Farhadi (...) Pourtant, si la construction du CLIENT est quasi inattaquable, le film n’a pas l’évidence limpide de certains des précédents opus de Farhadi. On comprend son intention, mais il pousse parfois le curseur des enjeux dans la zone rouge, quitte à les rendre poussifs et moins universels. C’est notamment le cas dans le dernier acte où, à force de vouloir rendre son récit plus percutant, Asghar Farhadi finit par étirer sa conclusion jusqu’à l’effusion gênante." Lire la critique complète