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    César 2016 : les lauréats en vidéo !

    Catherine Frot, Michael Douglas, Benoît Magimel... Ils partagent leur joie avec vous et répondent aux questions d'AlloCiné.

    AlloCiné

    Fatima, Marguerite, La Loi du marché, Mustang… Ce sont eux les grands gagnants de cette 41ème édition des César. Et à tout seigneur tout honneur, c’est Philippe Faucon – un réalisateur qui poursuit depuis des années une carrière passionnante en marge de l’industrie – qui se confie à notre micro, revenant sur le fond et la forme de sa Fatima. Quant à Arnaud Desplechin, Meilleur Réalisateur pour "Trois souvenirs de ma jeunesse", il ne manque pas d’autodérision...

    Autre grande gagnante de la soirée, Catherine Frot impose Marguerite avec son entrain et son dynamisme habituels. A force de volonté, et grâce au soutien de Xavier Giannoli, son réalisateur, elle a trouvé le ton juste pour composer un personnage dépourvu de… justesse.

    Faisant la part belle à la jeunesse, les César 2016 font éclore des espoirs plein de vie et de fougue. Mention spéciale à Rod Paradot, l'adolescent instable et frondeur de La Tête haute, déjà bouleversant sur la scène du Châtelet et qui parvient à nous émouvoir à notre tour...

    Il y a bien des années que Michael Douglas n’est plus un fringant jeune homme. La preuve, les César rendent hommage à cette icone américaine et francophile, qui déclare sa flamme à la France et au cinéma français. Au passage, il égratigne gentiment les Oscars, dont les nominations ne brillent pas par leur diversité.

    Et en parlant de diversité, l’Académie a fait tomber les frontières pour récompenser la Danoise Sidse Babett Knudsen, meilleur second rôle féminin dans L’Hermine. Et, bonne camarade, elle ne tarit pas d’éloges sur son partenaire dans le film, Fabrice Luchini.

    La joie de l’héroïne de Borgen fait plaisir à voir, tout comme l’émotion sincère de Benoît Magimel, consacré Meilleur acteur dans un second rôle pour sa composition en éducateur dur mais juste dans La Tête haute.

    Depuis Cannes 2015, Mustang n’en finit plus sa belle aventure… et de faire parler de sa, ou plutôt de ses nationalités. Avant de partir pour les Oscars, Deniz Gamze Ergüven a pris le temps d’éclaircir cette épineuse question, qui nous taraude depuis sa présentation à Cannes en 2015.

     

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