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    8 vrais salopards chez Tarantino
    Thomas Imbert
    Thomas Imbert
    -Chef de rubrique - Infotainment
    De la Terre du Milieu aux confins de la galaxie Star Wars en passant par les jungles de Jurassic Park, il ne refuse jamais un petit voyage vers les plus grandes sagas du cinéma. Enfant des années 90, créateur des émissions Give Me Five et Big Fan Theory, il écrit pour AlloCiné depuis 2010.

    Quentin Tarantino a le don pour créer des personnages qu'on adore détester, et le prouve une fois de plus cette semaine, alors que "Les Huit salopards" sortent en DVD et Blu-Ray. Pour l'occasion, retour sur les pires ordures de sa filmographie...

    Calvin Candie dans "Django Unchained"

    Sony Pictures Releasing France

    A contre-emploi total dans le premier western de Tarantino, DiCaprio prouve qu’il peut très bien jouer les méchants en endossant la redingote de l’abominable Calvin Candie.

    Ce puissant propriétaire terrien est avant tout un cruel esclavagiste qui n’a rien à envier au colonel Landa. Pour se distraire, il organise des combats de mandingue (c’est-à-dire des luttes à mort et à mains nues entre deux esclaves) dans son petit salon.

    Mais à la différence de son prédécesseur dans ce dossier (qui en dépit de sa cruauté faisait preuve d’une certaine ingéniosité), Candie est idiot. Malgré les airs d’aristocrate qu’il essaye tant bien que mal de se donner et sa faible maitrise du français, c’est souvent en poussant des gueulantes et en donnant des coups de marteau qu’il se sortira des situations délicates.

    Quand DiCaprio pète un câble...

     

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