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    Employés...pour tuer !
    Olivier Pallaruelo
    Olivier Pallaruelo
    -Journaliste cinéma / Responsable éditorial Jeux vidéo
    Biberonné par la VHS et les films de genres, il délaisse volontiers la fiction pour se plonger dans le réel avec les documentaires et les sujets d'actualité. Amoureux transi du support physique, il passe aussi beaucoup de temps devant les jeux vidéo depuis sa plus tendre enfance.

    Retour sur seize de ces grandes figures du septième art. Qui sont employées... pour tuer ! Votez pour votre tueur à gages préféré !

    Jackie Cogan dans "Cogan : Killing Them Softly"

    Metropolitan FilmExport

    Il était une fois un tueur...

    Lorsqu’une partie de poker illégale est braquée, c’est tout le monde des bas-fonds de la pègre qui est menacé. Les caïds de la Mafia font appel à Jackie Cogan pour trouver les coupables. Mais entre des commanditaires indécis, des escrocs à la petite semaine, des assassins fatigués et ceux qui ont fomenté le coup, Cogan va avoir du mal à garder le contrôle d’une situation qui dégénère…

    La petite histoire

    Troisième film d'Andrew Dominik après l'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford, Cogan : Killing Them Softly est l'adaptation du roman L'Art et la manière paru en 1974 et écrit par George V. Higgins, surnommé "le Balzac des bas-fonds de Boston". Pour le cinéaste, Cogan : Killing Them Softly trouve ses origines dans l'accueil plutôt réservé de son précédent film : "(...) le film est né de l’expérience de L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford qui (...) n’a pas du tout fonctionné commercialement aux États-Unis. Pour Cogan : Killing Them Softly, il y avait donc indéniablement l’envie d’exprimer une certaine forme d’amertume vis-à-vis de la façon dont les choses s’étaient passées sur ce film. Voilà pourquoi c’est un film qui parle d’argent", explique-t-il.

    Le saviez-vous ?

    Pour concevoir son film, Andrew Dominik s'est inspiré à la fois de littérature et de cinéma : "(...) j’ai pensé à "Red Alert", le livre qui a inspiré Point limite, un drame méritant mais oubliable sur un accident nucléaire, et Docteur Folamour, qui traitait exactement du même sujet mais sur le mode de la comédie".

     

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