Mob City a reçu de relativement bons échos outre-Atlantique. Et pour cause, l’intrigue se déroule aux débuts des années 1950, à Los Angeles, la cité des Anges, où le banditisme règne en maître sur la ville. L’opposition féroce entre forces de l’ordre et mafias bat son plein, grâce à quelques savoureux ingrédients…
- Ne cherchez pas bien loin, Le premier argument provient de l’homme manœuvrant le show. Il s’agit de… Frank Darabont ! L’homme à tout faire - réalisateur, scénariste, producteur -, est le père de The Walking Dead, Les Evadés, La Ligne verte, pour ne citer qu’eux. Avec un curriculum vitae si impressionnant, il est difficile de rêver mieux.
- Il a su s’entourer d’une distribution éclectique. Ensemble, les acteurs forment un tout homogène, en parfaite symbiose. Et surtout, il y en a pour tous les goûts. Frank Darabont réunit Jon Bernthal (The Walking Dead), Milo Ventimiglia (Heroes), Neal McDonough (Desperate Housewives, Band of Brothers) et Robert Knepper (Prison Break).
- Mob City est adaptée du roman "L.A Noir" de John Buntin. L’histoire se fonde sur la lutte saisissante entre le LAPD et le crime organisé dans les années 1940. Une fable noire réaliste, menée d’une main de maître par Frank Darabont et ses collaborateurs.
- Pour quiconque appréciant l’univers du banditisme, et les œuvre intemporelles que sont Le Parrain, Scarface..., la série devrait convenir parfaitement. Le cadre retranscrit correspond à l’époque. Tout y est, les costumes, les dialogues, le décor. Il s’agit d’un milieu brutal, violent et marquant.
- Les fictions à rallonge vous hérissent ? Vous trouvez qu’elles perdent de leur saveur... Cette série ne risque pas de décevoir sur ce plan. TNT a préféré jouer la carte de la sécurité en ne commandant que 6 épisodes auprès de son créateur.