Fantasia (1940)
Un ballet de petites fées sur le "Casse-Noisette" de Tchaïkovski, Mickey et des balais pour "L’Apprenti Sorcier" de Paul Ducas et des dinosaures pour "Le Sacre du printemps" de Stravinsky.
Si chacune des œuvres classiques revisitées dans Fantasia se voit offrir un univers poétique et lyrique, seul l’un des segments animés du film peut vraiment être qualifié de psychédélique : la "Toccata et Fugue en Ré Mineur" de Jean-Sébastien Bach.
Dans cette séquence, l’animation se met véritablement au service de la musique pour ne finalement faire qu’une avec elle, comme lorsqu’on regarde un oscillogramme. Des formes, des couleurs, et une scène réellement hypnotisante.
Musique !