Fatih Akin
Son film de 2015
The Cut (sorti le 14 janvier)
Pourquoi on l'attend ?
Depuis De l'autre côté en 2007, Fatih Akin a promis qu'il allait clôre sa trilogie sur l'Amour, la Mort et le Diable, entamée avec Head On. Mais il aura fallu être patients : déjà parce que le cinéaste s'est d'abord tourné vers Soul Kitchen et le documentaire Polluting Paradise ; puis parce qu'il a préféré Cannes à Venise, visiblement beaucoup plus enthousiaste, pour dévoiler The Cut l'an dernier, repoussant un peu plus le moment de le découvrir.
Tourné en arménien, arabe, turc, espagnol, anglais et kurde, le long métrage nous replonge dans le génocide qui a frappé l'Arménie au début du XXème siècle, et lance le toujours excellent Tahar Rahim sur les traces de ce qu'il reste de sa famille, nous promettant un flot d'images impressionnates. Surtout si le réalisateur cite Elia Kazan, Martin Scorsese, Bernardo Bertolucci et Sergio Leone comme influences de The Cut.
Un aperçu du périple de Tahar Rahim dans "The Cut" :