Mon compte
    200 films pour Halloween

    Avis aux amateurs d'horreur ! Organiser une nuit de la peur chez vous, c'est possible grâce à ce dossier qui vous aide à concocter votre programme à travers 40 thématiques. Attention, cette sélection est non-exhaustive, nous avons dû faire des choix.

    MA CABANE AU FOND DES BOIS...

    Evil Dead de Sam Raimi (1982)

    Le pitch - Cinq jeunes vacanciers s'installent dans une baraque au coeur d'une sinistre forêt. En descendant dans une cave lugubre, les deux garçons de la bande découvrent un vieux magnétophone qui, une fois remis en marche, émet une incantation magique. Laquelle réveille les forces du mal, déclenchant ainsi une horreur sans nom...

    Pourquoi le (re)voir ? Parce que le film, premier long métrage de Sam Raimi, est un vrai bijou d’angoisse, un film culte qui s’impose rapidement comme une référence du genre malgré un budget limité (350 000 dollars) et un tournage étalé sur trois ans.

    C'est culte ! Le viol de l’une des héroïnes… par un arbre, possédé par les forces démoniaque qui hante les lieux.

    L'anecdote qui tue - C'est Joel Coen qui co-signe le montage d'Evil Dead.

    Cabin Fever de Eli Roth (2002)

    Le pitch - Cinq amis ont loué une cabane dans la forêt pour y fêter la fin de leurs études. Mais la fiesta tourne au cauchemar quand un ermite infecté par un mystérieux virus qui dévore les chairs de ses victimes fait son apparition...

    Pourquoi le (re)voir ? Parce que Cabin Fever, comme Evil Dead 20 ans plus tôt, lance la carrière d’une réalisateur de talent, Eli Roth. Et livre au passage un virus vraiment crade…

    C'est culte ! L’épilation sanglante de l’un des personnages, inspiré du propre vécu de Eli Roth.

    L'anecdote qui tue - La fasciite nécrosante ou "maladie dévoreuse de chair" est une maladie rare, causée par un streptocoque du groupe A. Elle entraîne une destruction par destructuration des chairs et tissus; plus de 3500 personnes contractent cette maladie chaque année. A la suite de l'infection les chairs se ramollissent et perdent de leur élasticité, le simple fait de se gratter ou de tirer pour provoquer leur chute. 20 à 30% des personnes atteintes de cette maladie en meurent.

    Vorace de Antonia Bird (1999)

    Le pitch - Le capitaine John Boyd est entraîné dans une enquête par l'étrange Colqhoun, qui déclare que ses compagnons de voyage ont été victimes d'un militaire cannibale rendu fou par le froid et la faim…

    Pourquoi le (re)voir ? Parce que Vorace aborde de manière totalement inédite le western… que Damon Albarn y signe une impressionnante bande originale.

    C'est culte ! Le récit de Robert Carlyle, qui raconte le massacre de ses compagnons…

    L'anecdote qui tue - Végétarien, Guy Pearce a accepté de mâcher de la viande pour les besoins du film, recrachant la nourriture à chaque fin de prise…

    Dead Snow de Tommy Wirkola (2009)

    Le pitch - Des vacances au ski tournent au cauchemar pour un groupe d'adolescents lorsqu'ils se retrouvent confrontés à une menace inimaginable : des nazis zombies sortis de la glace...

    Pourquoi le (re)voir ? Parce qu’on voit dasn Dead Snow des zombies nazis décongelés attaquer des skieurs, voilà pourquoi !

    C'est culte ! L’automutilation à la tronçonneuse de l’un héros, mordu au bras puis sur une partie sensible, par l’un des zombies…

    L'anecdote qui tue - L'un des héros du film porte un T-shirt faisant ouvertement références au Braindead de Peter Jackson.

    The Cellar de Martin Kjellberg & Nils Wåhlin (2003)

    Le pitch - Quatre étudiants en art ont loué un pavillon d’été au cœur de la forêt pour un week end afin de finaliser dans le calme leurs derniers projets. Leur séjour devient de plus en plus pénible lorsqu’ils se mettent à avoir des visions étranges. La maison serait-elle hantée ou leur esprit leur jouerait-il des tours ?

    Pourquoi le (re)voir ? Parce que The Cellar, ce thriller venu du froid, est un croisement intéressant entre Shining et Blair Witch. Sans atteindre le niveau de ces deux monuments de la peur, mais quand même…

    C'est culte ! La visite des sous-sols de la maison, glauque à souhait.

    L'anecdote qui tue - Le film, qui date de 2003, a remporté le prix du Meilleur scénario et du Meilleur réalisateur au festival Insomnifest 2008.

    FBwhatsapp facebook Tweet
    Sur le même sujet
    Commentaires
    Back to Top