MONSTRES GEANTS
King Kong de Peter Jackson (2005)
Le pitch – L’audacieux explorateur-réalisateur Carl Denham part avec une équipe sur Skull Island pour être le premier à filmer cette île mystérieuse. La "chose" qu’il va y découvrir va bouleverser sa vie…
Pourquoi le (re)voir ? – Parce que Peter Jackson réussit à remettre au goût du jour un film datant de 1933, en le trahissant juste ce qu’il faut et sans le dénaturer.
C’est culte ! King Kong en haut de l’Empire States Bulding, King Kong baffant des tyrannosaures… Vous avez l’embarras du choix !
L’anecdote qui tue – Le cri de la créature est en réalité le rugissement d’un lion, diffusé en arrière plan et à mi vitesse.
Godzilla de Roland Emmerich (1998)
Le pitch – Des cataclysmes s’abattent sur le monde. Ils semblent coïncider avec la découverte de traces gigantesques qui appartiennent à une créature jamais vue.
Pourquoi le (re)voir ? – Parce que voir Matthew Broderick dans son dernier blockbuster et Jean Reno s’auto-doubler dans des dialogues ineptes, ça vaut son pesant de cacahuètes !
C’est culte ! Le papi qui pêche sur un ponton et qui assiste à la première apparition de Godzilla, et se retrouve poursuivi par la bestiole !
L’anecdote qui tue – Les voix américaines des Simpson (Hank Azaria, Harry Shearer et Nancy Cartwright) font une apparition dans le film, car ce sont de grands fans des films sur Godzilla.
Jurassic Park de Steven Spielberg (1993)
Le pitch – John Hammond et son équipe ont réussi à faire renaître une dizaine d’espèces de dinosaures. Il décide d’ouvrir un parc d’attraction mettant en valeur les créatures, mais rien ne va se passer comme il l’aurait voulu…
Pourquoi le (re)voir ? – Parce que les effets spéciaux de Jurrasic Park ont obtenu un Oscar, et qu’ils n’ont pas pris une ride !
C’est culte ! "Mais où est la chèvre ?..."
L’anecdote qui tue – Le livre de Michael Crichton est sorti en 1990, mais semblait déjà un potentiel best-seller avant sa publication. Aussi, l’équipe du film travaillait à son adaptation dès 1989, en utilisant le manuscrit de l’auteur.
Tremors de Ron Underwood (1989)
Le pitch – La petite communauté marginale de la ville de Perfection est soudain menacée par un monstre sorti de terre, espèce de ver géant doté d'une force phénoménale, de multiples tentacules.
Pourquoi le (re)voir ? – Parce que si ça ressemble à un nanar, ce n’en est pas un et loin de là ! Le duo d’antihéros et l’apparition (toujours surprise) des vers sont un régal !
C’est culte ! Les vers qui explosent, ce qui nous permet de découvrir de l’intérieur ces charmants monstres rampants constitués essentiellement de sang et de pus.
L’anecdote qui tue – Le musicien Robert Folk a été engagé en catastrophe pour composer une bande originale pour le film. Ernest Troost, le compositeur officiel de Tremors, n’arrivait pas à donner le punch nécessaire au soutien du film. Folk, qui a pourtant enregistré près de trente minutes de musique, n’a pas été crédité au générique.
Cloverfield de Matt Reeves (2008)
Le pitch – A New York, une fête est perturbée par les tremblements du sol. Quelque chose est en train de se réveiller… Et la nuit de folie va tourner au cauchemar…
Pourquoi le (re)voir ? – Parce que Cloverfied figure parmi les films de monstres les plus réalistes jamais tournés, haletant, prenant, effrayant !
C’est culte ! Lorsque des dizaines de personnes bloquées sur un pont voient le monstre surgir et faire effondrer l’édifice…
L’anecdote qui tue – Le réalisateur Matt Reeves était dans la même promo de fac que Judd Apatow et Macy Gray à l’USC (University of Southern California).