Quelle est la couleur, le ton de cette saison 2 par rapport à la première ?
Ambroise Michel (Adil) : La saison 1 démarrait sur l’histoire de Laura qui arrivait à la Réunion, et qui se retrouvait en contact avec plusieurs personnages, qui se sont tous développés. La saison 2 est l’histoire de tous ces personnages-là. Il y a eu une vingtaine d’épisodes d’exposition dans la saison 1. Après, tout doucement, on rentrait dans les prémices des personnages. Là on rentre dans une vraie profondeur et dans une subtilité psychologique. Par rapport à la saison 1, ce n’est plus du tout pareil.
Par rapport à la saison 1, ce n’est plus du tout pareil.
Vincent Vermignon (Stephan de Kervelec) : Je pense que ça va être un peu plus sombre. Il y a aura beaucoup plus d’intrigues, de zones grises. L’inconnu fait toujours un peu peur. On a quand même deux personnages principaux en plus, donc il y a davantage d’interconnexions.
Emilie Granier (Billie) : Je pense qu’à l’écriture, c’est probablement plus complexe parce qu’il y a deux nouveaux personnages : Stephan et Billie, donc ça rajoute des intrigues.
Julie Boulanger (Laura Park) : Le retour de Stephan chamboule complètement la vie de Laura parce qu’elle est en couple avec Adil. Ca entraine plein de questionnements, mais en même temps c’est le père de son fils, donc ça peut lui permettre de recréer une famille.
En saison 2, ça va à 200 à l’heure.
Antoine Stip (Charles de Kervelec) : Dans la saison 1, comme dans toute saison 1, on est là pour installer les gens, pour les présenter. On répète même un peu qui ils sont pour bien que ça rentre. En saison 2, pas la peine. Ca va à 200 à l’heure.
Tout sur la saison 2 de CUT, diffusée à partir du 6 octobre sur France Ô...