Quel conseil donneriez-vous à votre personnage ?
Ambroise Michel (Adil) : "Détends-toi ! Je sais pas, sors un peu !" C’est un grand solitaire, Adil, un grand misanthrope. Il a du mal avec les gens, mais aussi avec lui-même.
Vincent Vermignon (Stephan de Kervelec) : "Bon courage !" (rires) Parce qu’un retour est beaucoup plus difficile qu’une arrivée. Il y a des attentes venant de son père, de Laura, de son fils. Il faut revenir sans déranger, s’intégrer, mais en même temps ne pas s’oublier. Il met les autres personnages dans une situation délicate, mais il s’y trouve lui aussi.
Il faut revenir sans déranger, s’intégrer, mais en même temps ne pas s’oublier.
Emilie Granier (Billie) : "Reste comme tu es", probablement. C’est ça qui m’a plu aussi. Souvent les personnages féminins dans les séries sont un peu quotidiens, un peu normés. Elle, elle ne l’est pas du tout. A chaque séquence elle peut avoir une couleur différente, donc c’est ultra-intéressant à jouer.
Julie Boulanger (Laura Park) : "Arrêter de mentir !" Elle utilise le mensonge pour protéger les gens. Elle est obligée parce qu’elle a peur de perdre son fils, de perdre l’amour, de mourir. Il y a un réel danger en la personne de Charles. Elle a toujours cette ombre derrière elle qui fait qu’elle peut réagir de manière un peu déplacée. J’aurais envie de lui dire de se détendre. (rires)
Sébastien Capgras (Jules Park) : "Va faire un tour sur Paris, tu vas voir, c’est cool !" (rires) Non je plaisante ! "Arrête de mettre son nez partout !"
Antoine Stip (Charles de Kervelec) : "Continue à rester invincible."
Et que lui souhaiteriez-vous ?
Ambroise Michel (Adil) : Un peu plus de fantaisie, mais c’est justement là que le personnage de Billie intervient.
Vincent Vermignon (Stephan de Kervelec) : D’être accepté.
Emilie Granier (Billie) : D’être heureuse, quand même. (rires)
Julie Boulanger (Laura Park) : Que Charles arrête de la faire chier, qu’il la laisse vivre un peu. C’est vraiment lui le problème.
Sébastien Capgras (Jules Park) : Qu’il ait une famille, qu’il reste amoureux, qu’il devienne indépendant, qu’il devienne un homme et qu’il puisse continuer à protéger sa mère.
Antoine Stip (Charles de Kervelec) : "Tombe vraiment amoureux."
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