Leslie Nielsen, dans "Dracula, mort et heureux de l’être"
C’est bien connu, Mel Brooks prend un malin plaisir à détourner à sa manière les plus grands mythes d’Hollywood. Dans son tout dernier film, c’est donc au tour du célèbre vampire d’être mangé à la sauce Brooks. Alors que le réalisateur prête ses traits au chasseur de vampires Van Helsing, c’est au désopilant Leslie Nielsen qu’il confie celui de Dracula.
Sorti peu après l’inoubliable version de Francis Ford Coppola, Dracula, mort et heureux de l’être bénéficie donc de l’intérêt qu’a suscité le film précédent auprès du public, mais fait davantage référence à la version de Tod Browning avec Bela Lugosi (1931). A ceci près que le vampire de Bram Stoker se cogne ici aux vitres et aux lustres…
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