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    Dix choses que vous ignorez peut-être sur James Cameron
    Olivier Pallaruelo
    Olivier Pallaruelo
    -Journaliste cinéma / Responsable éditorial Jeux vidéo
    Biberonné par la VHS et les films de genres, il délaisse volontiers la fiction pour se plonger dans le réel avec les documentaires et les sujets d'actualité. Amoureux transi du support physique, il passe aussi beaucoup de temps devant les jeux vidéo depuis sa plus tendre enfance.

    Le 24 avril 1985 sortait en France "Terminator". Dopé par un manque évident de moyen, James Cameron livrera pourtant un chef-d'oeuvre de la SF qui fera date. Mais connaissiez-vous la génèse du film ? Voici 10 anecdotes autour du cinéaste.

    Au début des années 1990, les prémices de la réalité virtuelle faisaient fantasmer, avant que le soufflet ne retombe très vite. Mais avec l'arrivée des lunettes Occulus Rift, non seulement le résultat est assez hallucinant pour un coût maîtrisé, mais c'est en outre une technologie promise à un grand avenir, en particulier dans les jeux vidéo, et, peut être plus tard, au cinéma.

    "Je serai extrêmement intéressé de trouver un moyen d'incorporer la réalité virtuelle comme outil narratif et immersif dans une oeuvre. Une oeuvre qui offrirait des chemins individuels pour que vous puissiez faire vos choix en temps réel. Je pense que ca serait vraiment fun, intimidant, et aussi cher, pour atteindre une qualité de rendu comme dans un long métrage classique. Mais c'est quelque chose qui serait vraiment sympa à faire. Je suis très familier avec la réalité virtuelle, je suis le développement depuis le début. En un sens, c'est aussi une manière de décrire notre travail sur Avatar. Nous avons utilisé une caméra "virtuelle" qui a tourné tous les plans qui apparaissent en images de synthèse dans le film".

    Bientôt l'interactivité dans une oeuvre de fiction signée James Cameron, grâce à la réalité virtuelle ? Disons que si le sujet l'intéresse et que l'on sait que l'intéressé est particulièrement doué , ce n'est quand même pas pour tout de suite, vu le nombre de projets que le cinéaste a sur le feu.

     

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