Libération (Julien Gester)
(…) un superbe conte fantastique de la solitude et du désir. Surtout, un film de pur récit plastique, dont la lumière serait le principal agent, et l’actrice l’écran absolu de ses projections numériques (…) (Scarlett Johansson, donc, magnifique bien que filmée sévèrement)
Lire la critique
The Guardian (Xan Brooks)
Une extraordinaire œuvre d’art en marge (…) Jonathan Glazer prend de la vieille prose fatiguée, et la transforme en poésie. Dans un monde parfait, il gagnerait la plus haute récompense ce week-end.
Lire la critique
Première (Laura Pertuy)
Un portrait fascinant de la femme derrière l’icône, et plus généralement d’une condition féminine brimée, porté par une bande-son immersive et une esthétique très particulière, rappelant çà et là Lars Von Trier (Melancholia), Brian de Palma(Passion) et Andrea Arnold (Jane Eyre), mais affirmant surtout la voix d’un réalisateur hors-norme.
Lire la critique
La Presse.ca (Marc-André Lussier)
Sur le plan cinématographique, Under the Skin relève pratiquement d'une oeuvre d'art. Les paysages écossais se prêtent en outre magnifiquement à l'âpreté de l'approche qu'emprunte le cinéaste. (...) ce souci esthétique est mis au service d'un récit plutôt mince.
Lire la critique
Le Figaro (Marie-Noëlle Tranchant)
Film inégal, plutôt une curiosité stylistique qu'une œuvre vraiment captivante. Mais Scarlett Johansson, (…) y fait une composition étonnante.
Lire la critique
Variety (Scott Foundas)
(…) indéniablement amibitieux mais au bout du compte poussif et idiot (…) le genre de film qui aurait mieux fonctionné en tant qu’installation dans une galerie où on peut entrer et sortir à sa guise (…)
Lire la critique
The Independent (Kaleem Aftab)
Même Scarlett Johansson ne peut pas sauver le film d’alien auto-stoppeuse ridiculement mauvais de Jonathan Glazer [Cette phrase est le titre de l’article !]
Lire la critique