Hollywood Reporter (Todd McCarthy) : Drame social traité de manière très humaine, "Promised land" expose des préoccupations environnementales de manière claire et franche, mais les faiblesses du récit et de certains personnages dans la deuxième partie réduisent l’impact de cette œuvre fondamentalement douce et sensible.
Critikat (Julien Marsa) : À travers une description du milieu rural attachante et plutôt dénuée de folklorisme, Gus Van Sant aborde, l'air de rien, un sujet assez grave et rarement mis en avant par l'actualité, dans la veine d'un Erin Brockovich mais sans le côté « film-dossier ». Le premier mérite de ce film « grand public », c'est donc d'amener sur le devant de la scène certains aspects écologiques (…).
Screen (Tim Grierson) : Film de personnages pertinent et profond, mais qui devient hélas de plus en plus prévisible et simpliste, Promised land aborde des thèmes importants (l’avidité des entreprises, le pouvoir des communautés, la responsabilité sociale). Mais cet authentique intérêt pour ces questions ne rend que plus frustrants des choix de narration peu inspirés.
The Independent (Geoffrey Macnab) : C’est peut-être un film à message, mais ni trop véhément ni trop moralisateur (…) Malgré tout son savoir-faire, Van Sant traite son sujet d’une manière qui est au bout du compte un peu trop sèche et sobre
The Guardian (Andrew Pulver) La prémices de la confrontation entre Matt Damon et Frances McDormand sont finement observées et souvent drôles (…) Mais quand le film s’aventure sur des terrains plus sinueux, il devient moins digeste (…) En outre, Promised land semble perdre alors un peu de son courage politique.
Paris Match (Yannick Vély) Cousu de fil blanc, filmé sans grande personnalité à part quelques envolées folks où l'on reconnait la patte de Gus van Sant, "Promised Land" rate sa cible malgré d'évidentes qualités humaines.
VIDEO : la bande-annonce de "Promised land" (sortie le 17 avril)
