Les Inrocks : « Il aura fallu attendre le dernier jour pour que la pléthorique délégation américaine (cinq films, six en comptant Sur la route) ne se décide à offrir autre chose que fades succédanés, ne livre enfin la clé de voûte de son fragile édifice esthétique : le film s’appelle Mud, Jeff Nichols en est le signataire, et il va sans dire qu’il était attendu comme le messie – trop peut-être, pour pleinement convaincre a l’issue d’une seule projection. » [Jacky Goldberg]
Studio Ciné Live : « […]si Mud apparaît moins saisissant que Take Shelter , ce projet né dans la tête d'un Nichols alors lycéen lui permet de réussir son entrée dans un cinéma plus mainstream, sans perdre ce qui fait le sel de sa réalisation. De quoi décrocher une récompense dimanche ? » [Thierry Chèze]
Télérama : « Le jeune réalisateur (33 ans) était particulièrement attendu, un an après la révélation de Take Shelter, époustouflant film d'apocalypse mentale. Il faut bien avouer que cet honorable troisième long métrage (Jeff Nichols a aussi signé Shotgun Stories en 2007) n'est pas entièrement à la hauteur de nos espoirs. » [Louis Guichard]
The Guardian : « L’itinéraire romantique d’Ellis se résoud un peu trop facilement et l’acmé du film reste très mélodramatique, mais Mud est un film charmant et beau, porté par les brillantes performances de Tye Sheridan et Jacob Lofland. » [Peter Bradshaw]
Variety : « Un tiers La Nuit du chasseur deux tiers Huckleberry Finn, Mud est peut-être né de cette même sensibilité rustique qui a essaimé d’Andrew Wyeth à Terrence Malick, mais Nichols exprime cette manière de penser de façon vraiment personnelle. » [Peter Debruge]
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