The Hollywood Reporter : "Un polar croustillant, sanglant, crasseux, qui remplit largement le cahier des charges du genre, mais qui veut également être bien plus que cela." (Todd McCarthy)
Télérama : "Dialogues au cordeau, performances d’acteurs énormes, notamment l’Australien Ben Mendelsohn (Animal Kingdom) en junkie aux cheveux sales. Ce crime organisé-là n’a pas l’éclat des pègres façons Scorsese ou Tarantino, plutôt la désespérance des classes moyennes dans un pays à l’agonie. Glaçant." (Aurélien Ferenczi)
Le Monde : "Hommage inspiré au génie du cinéma américain, il se veut en même temps, par un fécond paradoxe, une cruelle allégorie stigmatisant le mensonge du mythe américain." (Jacques Mandelbaum)
Métro : "En l'absence de véritable enjeu dramatique, Cogan : la mort en douce finit par épuiser à force de déclarations cyniques sur le fric, le sexe, la politique... et encore le fric. Dommage." (Jérôme Vermelin)
Le Nouvel Observateur : "C’est un film sur la mafia, et qui désosse la crise économique aux Etats-Unis avec des discours d’Obama. Mais c’est un film extrêmement bavard, un peu du sous-Tarantino." (Lucie Calet)