Synopsis
Brillant analyste membre d'un groupe d'un "think tank", Will Travers met à jour une conspiration mondiale...
Créée par Jason Horwitch.
Avec James Badge Dale, Jessica Collins (II), Lauren Hodges, Dallas Roberts et Christopher Evan Welch.
Selon le New York Post :
"On dirait bien qu'AMC a trouvé son troisième bijou après Mad Men et Breaking Bad avec Rubicon, un thriller d'espionnage contemporain, plus proche de l'ambiance des années 70 que des années 2000 (...) Vous allez certainement avoir du mal à exprimer ce qui vous plaît dans la série et à quoi d'autre elle vous fait penser. Il y a quelque chose de Alias ou de X-Files mais sans les effets pyrotechniques stupides et les geeks à la pointe de la technologie. Le sens du mystère, en revanche, vous parlera forcément." ****
Selon Entertainement Weekly :
"Rubicon n'a pas le panache glamour de Mad Men ni les confrontations violentes de Breaking Bad, mais c'est une bonne chose. La série a donc sa propre identité. Elle suggère qu'il y a des forces qui attaquent notre gouvernement et notre mode de vie et que le calvaire pour prouver leur existence et celle d'une conspiration est aussi excitante que de démolir l'ennemi à mains nus". ****
Selon le Chicago Sun Times :
"AMC parle de la série comme d'un thriller, mais ce n'est pas le mot juste. Elle regorge de musiques au violon effrayantes, mais elle fait preuve délibérement de beaucoup de lenteur. Les quatre premiers épisodes n'apprennent pas grand chose, ce qui rend l'immersion difficile. Je suis un peu sceptique. La grande conspiration promise ne sera-t-elle pas une vaste déception ?" ***
Selon le Los Angeles Times :
"Le casting est excellent (...) Il y a de longs passages sans dialogues ou sans ce qu'on appelle communément 'de l'action', ce qui devraient en rebuter plus d'un. Pour ma part, je suis très heureux de me plonger dans cet atmospère proche du mauvais rêve, avec ses rebondissements renversants." ***
Selon le Boston Globe :
"Si ça ne vous dérange pas de reconstituer les pièces d'un puzzle une à une sans l'avoir vu en entier, Rubicon vous plaira. Le cas échéant, vous risquez de vous énerver vite." ***
Selon Salon :
"Avec sa lenteur et son style particulier, Rubicon mettra peut-être un peu de temps avant d'être dans le vrai. Mais il y a clairement quelque chose de passionnant derrière tout ça. Patience..." ***
Selon le Hollywood Reporter :
"Brillante, stylée et délectablement lente, cette série devrait devenir infiniment divertissante." ***
Selon le Time :
"Ce n'est pas une série pour impatients et il y a toujours un risque que la finalité soit quelque peu décevante, mais j'admire déjà son intelligence." ***
Selon le New York Daily News :
"Cette série est faite pour les amoureux des personnages et des machinations complexes." ***
Selon Slaunt Magazine :
"La série réussit à créer un univers fascinant rempli de zones d'obscurités, de code secrets et peut-être d'une conspiration gigantesque. Ce n'est pas complètement original mais il n'y a rien qui lui ressemble actuellement à la télévision !" ***
Selon le San Francisco Chronicle :
"Rubicon s'adresse à ceux qui s'intéressent à la paranoïa post-11 Septembre, qui sont capables d'entendre qu'elle est justifiée à de nombreux niveaux et qui n'ont pas totalement confiance en notre gouvernement." ***
Selon Variety :
"Oui, c'est une série intelligente, mais comme la plupart des thrillers, elle ne donne aucun frisson." **
Selon Deseret News :
"Le ton est presque unique à la télévision, l'ensemble est particulièrement intriguant. Mais réussir à garder cette atmosphère intacte semaine après semaine, tout en passionnant le téléspectateur, semble être une mission impossible." **
Selon TV Guide :
"Les grandes questions morales posées par la série sont intéressantes et rarement traitées à la télévision, la série est intelligente, c'est indéniable, mais que de lenteur !" **
Selon le Miami Herald :
"Prétentieuse et laborieuse, Rubicon a l'efficacité d'un grand film mais la lucidité d'un film tchèque sans les sous-titres. Il faudrait qu'elle triple de vitesse pour ne pas faire sombrer ses téléspectateurs dans la léthargie". *
Jean-Maxime Renault
