Synopsis : Jane Rizzoli, une enquêtrice de Boston, fait équipe avec le médecin légiste Maura Isles pour résoudre des crimes...
Créé par Janet Tamaro, d'après l'oeuvre de Tess Gerritsen.
Avec Angie Harmon, Sasha Alexander, Lorraine Bracco et Bruce McGill.
Selon Zap2It :
"'Rizzoli & Isles' n'a rien de la série légère qui met en avant le girl power malgré les apparences; elle est plutôt sombre, parfois même assez terrifiante, et explore une des facettes les moins reluisantes de l'âme humaine, tout en maîtrisant le suspense et en réservant quelques surprises. Les dialogues sont en adéquation avec les crimes traités : durs. Les personnages ont suffisamment de charisme et de classe pour ne pas verser dans la vulgarité facile." ****
Selon le New-York Post :
"Ce qui m'a particulièrement plu dans ce pilote, au-delà de l'alchimie entre les deux héroïnes, c'est ce retour vers le passé, cette façon de résoudre une enquête façon "old-school", comme dans les bonnes vieilles séries policières de nos mamans comme Cagney et Lacey (...)" ***
Selon People Weekly :
"L'intéraction entre les héroïnes est plaisante, amicale mais aussi professionnelle; une légéreté qui permet de contrebalancer avec l'aspect très gore du pilote." ***
Selon le Boston Herald :
"Le meilleur du pilote ? Toutes les scènes où le personnage de Jane Rizzoli apparaît. Le pire ? Toutes les autres, surtout celles qui mettent en avant sa meilleure-amie et collègue Maura." ***
Selon le Hollywood Reporter :
"Le pilote de la série est sans fausse note. Il mélange parfaitement l'humour et le suspense, et le sang y coule goutte à goutte. Curieusement, l'enquête du jour est pus digne d'un Season Finale que d'un pilote (...). Le développement des personnages est tel qu'ils évoluent autant en un épisode qu'en toute une saison dans une autre série !" ***
Selon le Miami Herald :
"Bien que le but soit de proposer une série policière "de copines", le personnage d'Angie Harmon vole clairement la vedette à celui de Sasha Alexander (...) ***
Selon Newsdays :
"Cette série appartient à Angie Harmon, une ancienne pièce-maîtresse de New York District. Son personnage est attachant et intriguant. C'est ce qui sauve une série policière de facture classique plutôt moyenne." **
Selon le Washington Post:
"Mesdames, si vous aimez vous poser sur votre canapé en attendant le retour de votre mari et le beep du micro-ondes, en suivant les aventures de détectives au brushing et aux fringues impeccables, 'Rizzoli & Isles' est faites pour vous. La promesse est simple : pas de prise de tête, des meurtres ou des viols glauques mais racontés simplement avec ce qu'il faut de tâches de sperme et d'amertume policière. Ce n'est pas dans la grande télévision mais c'est l'été !" **
Selon le New-York Times :
"En l'absence d'arc narratif, cette série se concentre sur le suspense et sur son duo d'héroïnes mal assorties. Isles est le genre de femme qui, quand elle ne travaille pas comme une forcenée, passe son temps à chercher des sacs Hermès en soldes sur eBay, et pense que Rizzoli a un problème de look (...) Il s'en dégage un certain sexisme avec le message suivant : les femmes, aussi fortes soient-elles, ont toujours besoin d'un homme pour venir à leur rescousse, et leur beauté ne fait que leur attirer des ennuis". **
Selon USA Today :
"Le fait que la série soit si ordinaire n'est pas vraiment un problème. Mais qu'elle soit à ce point familière, c'en est un ! Elle semble vivante de l'extérieure et morte de l'intérieure. C'est d'autant plus navrant qu'elle gâche le talent de ses actrices. C'est une version câblée de la précédente série d'Angie Harmon, Women's Murder Club, sauf qu'elle se concentre non pas sur quatre mais deux personnages, réduction de budget oblige ! On pourrait la définir comme une tentative ratée de mélanger Grey's Anatomy aux Experts." *
Selon Deseret News :
"Wouah ! Cette série est tellement mauvaise que je ne sais pas par où commencer. Tout est rempli de clichés et les personnages sonnent encore plus creux que ceux d'un dessin-animé bas-de-gamme. Les dialogues sont catastrophiques (...) Mais les actrices sont bonnes, on a juste beaucoup de peine pour elles."
Jean-Maxime Renault