1er jour France du mercredi 28 août 2024
1 - La Prisonnière de Bordeaux : 9 251 entrées (dont 2 247 en AVP)
2 - Fêlés : 8 455 entrées (dont 729 en AVP)
3 : L'I.A. du mal : 8 099 entrées (dont 696 en AVP)
4 - La nuit se traîne : 7 797 entrées (dont 1 563 en AVP)
5 - Septembre sans attendre : 4 924 entrées (dont 1 652 en AVP)
6 - La belle affaire : 2 409 entrées (dont 297 en AVP)
7 - Alienoïd L'affrontement : 2 197 entrées (dont 183 en AVP)
8 - Paradise is Burning : 1 494 entrées (dont 941 en AVP)
À retenir
Après Emilia Pérez, qui avait pris les commandes la semaine dernière, c'est un petit 1er jour France que nous offre ce 28 août 2024. La Prisonnière de Bordeaux, drame porté par Isabelle Huppert et Hafsia Herzi, réalise un démarrage très timide avec moins de 10 000 entrées. Malgré ce score modeste, le film de Patricia Mazuy prend la tête du 1er jour France et la réalisatrice signe son meilleur démarrage pour son 6ème long-métrage.
En seconde position, on retrouve la comédie Fêlés, emmenée par Charlotte De Turckheim, Bernard Le Coq et Pierre Richard. Avec 8 455 billets vendus, le réalisateur Christophe Duthuron effectue son plus mauvais démarrage après son diptyque Les Vieux Fourneaux. Le premier volet avait attiré 55 000 personnes lors de sa sortie le 22 août 2018. Quant au second, il avait rassemblé 36 000 fans le 17 août 2022.
Le film d'horreur L'I.A. du mal vient se placer sur la 3ème marche du podium avec 8 099 tickets déchirés. Le long-métrage nous présente Curtis et sa famille ; ils sont sélectionnés pour tester un nouvel appareil révolutionnaire : un assistant familial numérique appelé AIA. Rapidement, le robot apprend les comportements de la famille et commence à anticiper leurs besoins. Il souhaite s'assurer que rien - ni personne - ne se met en travers du chemin de la famille.
La 4ème position du est occupée par La nuit se traîne, un thriller haletant signé par le cinéaste belge Michiel Blanchart, dont c'est le premier long-métrage. Ce dernier voulait que son film se passe en une nuit.
Son penchant pour les oeuvres portées par une contrainte l’a poussé à réfléchir au principe de l’unité de temps, et a ainsi décidé de le développer autour de cette poursuite effrénée.
"C'était rassurant pour moi, en termes d'écriture, d'avoir ce cadre, et de pouvoir placer le personnage principal dans des situations précises, rendant chaque étape absolument nécessaire pour le faire avancer", a-t-il confié.
Source : CBO Box-office