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    "Thriller captivant au récit vertigineux" : noté 3,8 sur 5, c'est le film à voir absolument cette semaine !
    Laurent Schenck
    Laurent Schenck
    -Journaliste rédacteur base de données
    Passionné par les films qui traitent de la criminalité au sens large, Laurent Schenck travaille sur la base de données cinéma du site. Ses missions sont les suivantes : la rédaction de biographies et secrets de tournage, l'enrichissement de castings/fiches techniques et la revue de presse.

    Actuellement en salles et en lice pour les Oscars 2024, le thriller allemand "La Salle des profs" affiche une moyenne presse de 3,8 sur 5.

    Sorti cette semaine, La Salle des profs concourt également pour l'Oscar du meilleur film international, aux côtés de Moi, capitaine, Perfect Days, Le Cercle des neiges et La Zone d'intérêt. Porté par l'impressionnante Leonie Benesch dans la peau d'une enseignante cherchant à élucider une série de vols dans un collège, ce thriller allemand, mis en scène par İlker Çatak, a été très bien reçu par la presse française présente sur AlloCiné. Sa moyenne est de 3,8 sur 5, et ce pour 33 supports.

    De quoi ça parle ?

    Alors qu'une série de vols a lieu en salle des profs, Carla Nowak mène l'enquête dans le collège où elle enseigne. Très vite, tout l'établissement est ébranlé par ses découvertes.

    Ce qu'en pense la presse :

    Selon CinemaTeaser :

    "Rumeurs, non-dits, méfiance intergénérationnelle et casse tête de l'enseignement à l'heure des réseaux sociaux, le film tire à vue avec une précision chirurgicale." (Perrine Quennesson) 5/5

    Selon Sud Ouest :

    "A partir d’une péripétie, Ilker Catak bâtit un thriller captivant, au récit vertigineux, mis en scène avec une rigueur de tous les plans." (Julien Rousset) 5/5

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    Selon L'Obs :

    "Plus qu’un film de suspense en milieu scolaire, « la Salle des profs » est un huis clos étouffant sur une enseignante mue par une haute idée de son métier qui veut bien faire, chute, tente de se rattraper et s’enlise telle une souris prise dans sa roue. Seule malgré les autres. Glaçant." (Nicolas Schaller) 4/5

    Selon La Voix du Nord :

    "L’engrenage diabolique n’élude les questions dérangeantes (l’enfant roi, la xénophobie, l’aplomb des menteurs) et transforme peu à peu le film en un étonnant thriller paranoïaque." (Christophe Caron) 4/5

    Selon Le Figaro :

    "Le film est fort. Il évite tout manichéisme, décrit de l'intérieur les coulisses d'une profession, opte pour une image de format étroit qui enserre l'intrigue dans un décor kafkaïen, le tout sur un air de violon lancinant. Le suspense est là." (Eric Neuhoff) 4/5

    Selon Le Journal du Dimanche :

    "İlker Çatak pose les bonnes questions sur les multiples enjeux du système éducatif en nous embarquant dans une chronique humaniste, mais jamais candide, qui tient aussi du thriller avec son ambiance très tendue entretenue par une mise en scène nerveuse." (Barbara Théate) 4/5

    Selon Libération :

    "La Salle des profs a été conçu sans la moindre volonté programmatique, s’amusant juste au fil du récit à saisir les perches les plus cinglantes, sans perversion ni sournoiserie, et à jouer d’idées souvent brillantes [...]." (Lelo Jimmy Batista) 4/5

    Selon Première :

    "Leonie Benech, formidable comédienne qui n’est pas sans rappeler Isabelle Huppert, livre une performance exceptionnelle, tout en nuances, et cristallise parfaitement la douleur et les attentes liés au métier d’enseignant. Un film plus important que jamais." (Yohan Haddad) 4/5

    C'est le film qui a secoué l'Allemagne : nommé aux Oscars, La Salle des profs est à voir au cinéma

    Selon Le Parisien :

    "Un film sous tension, formidablement interprété par la comédienne Leonie Benesch. Mais certaines facilités dans la progression du récit et une fin bien trop lourde gâchent en partie l’ensemble." (Renaud Baronian) 3/5

    Selon Cahiers du Cinéma :

    "Pour lutter contre les nouveaux fascismes, le self control serait-il la clé, comme l’incarne – non sans brio – cette héroïne qui plie, mais ne rompt pas dans l’escalade de la violence ? En réalité, parce qu’il joue avant tout sur la peur viscérale de l’Autre, le film repose sur le fantasme de la bonne correction : il est ainsi le premier à comploter contre son personnage." (Élie Raufaste) 2/5

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