Ce lundi 6 mars, France 2 diffuse Neige, un téléfilm policier avec Frédéric Diefenthal (Ici tout commence) et Murielle Huet des Aunay (Coups de sang). Écrite par Charlotte Canot et Thomas Benjamin, cette fiction suit Thomas Delhaye, un capitaine de police chargé d’enquêter sur la mort particulièrement violente de plusieurs notables de la région.
Afin de faire avancer l’investigation, il décide de faire sortir de prison, juste pour quelques jours, Juliette Hémon, jeune femme incarcérée des années plus tôt pour une affaire étrangement similaire. Un duo étrange va alors se former pour mener cette enquête qui va s’avérer bien plus complexe que ce qui était prévu.
Pour l’occasion, Frédéric Diefenthal et Murielle Huet des Aunay donnent la réplique à Louis Bernard, Etienne Diallon que les spectateurs de TF1 connaissent pour son rôle de Fred Belloni dans Demain nous appartient, Marie Bouvet (La Maison d'en face), Esther Gaumont (Coups de sang), Fanny Guidecoq (Peur sur le lac), et Véronique Kapoian Favel (No Limit).
Où a été tourné le téléfilm ?
Comme son nom le laisse entendre, Neige se déroule dans le décor montagneux des Alpes, au cœur de l’hiver. C’est donc dans la région Rhône-Alpes qu’ont été effectuées les prises de vue entre février et mars 2022. C’est d’ailleurs le réalisateur Laurent Tuel, qui a précédemment travaillé sur Jean-Philippe ou encore Pourquoi je vis, qui a eu la lourde tâche de mettre en valeur les paysages enneigés de la vallée de Haute Maurienne.
Un tournage qui a d’ailleurs été plutôt facile pour les équipes techniques comme l’a expliqué Frédéric Diefenthal à nos confrères de Télé Loisirs. “Il y a eu une tempête de neige la veille du tournage”, a-t-il expliqué. “Ce qui tombait plutôt bien puisqu'il commençait justement à en manquer !"
"J’ai déjà tourné deux ou trois fois en haute montagne et je me souviens encore, mais là cela n’a jamais été des conditions de tournage difficiles. […] Tourner à Combloux et dans la région était un bon choix de lieu, parce qu’on n’est pas écrasé par les montagnes : elles sont là, on les voit mais il y a aussi une perspective.”