Si chaque nouveau film de Steven Spielberg est un événement, The Fabelmans l'est peut-être un peu plus encore que les autres. Car, après les avoir évoqués de manière plus ou moins prononcée dans ses opus précédents, le réalisateur se confronte ouvertement à son enfance et au divorce de ses parents, vécus comme un traumatisme, sous l'œil du public.
En lice pour sept Oscars le 12 mars prochain, dont ceux de la Meilleure Réalisation et du Meilleur Film, The Fabelmans mélange le vrai et le faux (sans quoi il s'appellerait The Spielbergs) et ressemble à un aboutissement du cinéma de son auteur en même temps qu'il nous donne de nouvelles clés de lecture de celui-ci.
Le metteur en scène y raconte la naissance de sa passion pour le 7ème Art, le divorce de ses parents et la manière dont la réalisation a pu lui permettre de surmonter cet événement traumatique, avec le brio qu'on lui connaît et qui fait de lui l'une des figures majeures de l'Histoire du Cinéma.
IL ÉTAIT UNE FOIS SPIELBERG
Mais comment parvient-il à raconter des histoires qui nous touchent autant, en passant d'un genre à l'autre ? De quelle façon s'inscrit-il dans l'Histoire, lui qui nous a plus d'une fois emmenés dans le passé ? En quelques mots : pourquoi Steven Spielberg est le plus grand des conteurs ?
C'est le sujet de notre nouvelle vidéo "Complètement", consacrée, vous l'aurez compris, à Steven Spielberg. Avec les analyses d'Alexis Roux, journaliste et chroniqueur dans le podcast "Réalisé sans trucage". Et Julie-Anna Grignon, scénariste et membre du podcast "2 heures de perdues".
Un sujet de Maximilien Pierrette & Ando Raminoson - Réalisation : Ando Raminoson - Intervenants : Alexis Roux & Julie-Anna Grignon - Montage : Clotilde Astié - Cheffe de production : Marion Merle - Images : Grégoire Marinier - Voix-off : Maximilien Pierrette