Sigourney Weaver est pour la première fois l'héroïne d'une série : elle a choisi Greg Berlanti et sa nouvelle série "Political Animals". Découvrez ce que les journalistes américains en ont pensé !
=> TV Fanatic
"La série piétine dans les clichés, bien entendu. Tommy Conroy est l'archétype du policier d'une petite ville qui n'a jamais eu de grosse affaire de meurtre. John Haplin est le père en deuil dont l'épouse lave encore les draps de leur fille disparue. Nous avons déjà vu ces personnages de nombreuses fois. Mais Happy Town ne cherche pas à remporter des Emmys ou de quelconques récompenses scénaristiques. Il s'agit d'un plaisir coupable. Le cast semble assez solide (...) et [la série] a du potentiel justement parce qu'elle est située dans une petite ville et se concentre sur quelques personnages (...) Au final ma réponse ? Oui, c'est okay (...) De toute façon, du sang a été versé, comme Griffin Conroy n'arrête pas de le répéter à la fin de l'épisode. Le "Magic Man" va revenir. Comment ne pourrions-nous pas suivre la série pour comprendre ce que cela veut dire ?!?"
=> Variety
"Les épisodes sont certainement regardables, mais piloté par les scénaristes-producteurs Josh Appelbaum, Andre Nemec et Scott Rosenberg, le train prend aussi son temps pour quitter la station"
=> Los Angeles Times
"Il y a des moments qui donnent des frissons, des scènes drôles et du suspense dans les premiers épisodes d'Happy Town, mais les qualités sont balayées par la profusion de rebondissements et de molles révélations qui viennent emplir le ciel comme ces corbeaux meurtriers dans Les Oiseaux. Et, au cas où vous demanderiez, un oiseau de malheur hante Haplin. Est-ce que la série lorgne sur Alfred Hitchcock ou sur La Malédiction, dur de dire, mais entre le "Magic Man", les veuves, les frères Stiviletto et l'oiseau, Happy Town ressemble bien vite plus à Mad Magazine qu'à Twin Peaks. Ce qui est assez dommage parce que, ayant au casting Sam Neill et Frances Conroy, je suis lié par mon amour et ma dévotion envers eux de suivre la série jusqu'à la fin."
=> New York Times
"Happy Town, la dramédie d'ABC, traite des événements étranges coulant sous la surface d'une petite ville (une sorte de "Twin Peaks" se déroulant dans le Midwest), et plus précisément du retour d'un terrifiant criminel provenant du passé de la ville (une sorte d'"Harper's Island" mais avec un budget plus conséquent). Des visages amicaux n'inspirent pas la confiance et tout le monde semble en savoir plus qu'il ne le dit, au moins dans les deux premiers épisodes (...) Mais il n'y a aucun signe annonciateur qu'Happy Town mérite les comparaisons avec Twin Peaks qu'elle désire tant."
=> Buddy TV
"[Happy Town est une série] où l'introduction de chaque nouveau personnage est aussi maladroite que possible, et où l'action avance si rapidement entre les différentes intrigues que [la série] se transforme en jongleur qui essaie de manipuler trop de balles à la fois. Happy Town veut être Twin Peaks, avec une intrigue pleine d'humour noir sur les petites villes. Échouant dans ce domaine, elle ressemble plus à Harper's Island, un drama horrifique décérébré et divertissant offrant des frissons gratuits et faciles. Au final, on obtient une série qui va vous pousser à espérer qu'elle sera kidnappée par le "Magic Man" afin d'abréger vos souffrances."
=> Hollywood Reporter
"Le mystère d'Happy Town reste une énigme à la fin du premier épisode; beaucoup de temps est pris pour les présentations et beaucoup moins pour l'intrigue. Est-ce que le croque-mitaine surnommé le "Magic Man" va revenir ? Qu'est-ce qui se cache au 3ème étage de la pension ? Et qui est Chloé, un nom si puissant que le shériff (dont l'équipe est quand même bien fournie pour une ville sans histoires) en arrive à murmurer des choses incompréhensibles à lui-même toute la journée ? Mais l'élément le plus dérangeant jusqu'ici est le ton de la série. Peut-être est-ce que les téléspectateurs sont censés se lier avec les personnages un instant pour se moquer d'eux l'instant suivant lorsqu'ils prononcent des phrases typiques comme "Vous êtes aussi jolie que le portefeuille d'une souris", mais espérons que non."
=> Boston Herald
"Plus accessible que V ou FlashForward, Happy Town montre sa maîtrise du rythme et sait comment finir un épisode d'une heure avec un cliffhanger puissant."
=> Boston Globe
"Les deux premiers épisodes d'Happy Town réussissent à créer une atmosphère et sont suffisamment mouvementés pour laisser penser que la série est plus riche que son concept fatigué. Une autre raison d'être optimiste à propos d'Happy Town est son solide cast qui comprend notamment Steven Weber dans le rôle de John Haplin, le père d'Andrew et le dirigeant de l'usine de pains, et Frances Conroy, qui joue la mère de John, Peggy, qui détient le vrai pouvoir dans la ville. John est déterminé à démasquer le "Magic Man" parce que sa fille (la soeur d'Andrew) figure parmi les disparus."
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