La meilleure série de tous les temps : selon les spectateurs, c'est elle !
samedi 1 juillet 2006 - 00h18
"Grey's Anatomy" est admise sur TF1 à partir du 3 juillet. Découvrez cette série phénomène !
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Grey's Anatomy, les jeunes internes ne se connaissent pas. Au fil des épreuves et des longues heures passées à l'hôpital, ils vont nouer des liens ou au contraire mettre des distances, se rapprocher ou se déchirer, s'aimer ou se détester. En outre, les sentiments qu'éprouvent les personnages les uns pour les autres dépassent l'écran plat de la télévision et deviennent vite palpables, communicatifs, presque réels pour le téléspectateur. Devant son petit écran, ce dernier va lui aussi apprendre à connaître Meredith, Cristina, Izzie, George et Alex, à les aimer ou les détester. Leur premier jour au Seattle Grace Hospital est aussi celui du téléspectateur. A partir du moment où le public commence à éprouver une sincère tendresse envers les personnages d'une série, le pari est gagné...
Une alchimie mystérieuse... L'une des grandes réussites de Grey's Anatomy est sans aucun doute le parfait équilibre entre les personnages principaux, l'alchimie instantanée qui existe entre Meredith, Izzie, Cristina, Alex et George. Cela tient sans doute aussi à la qualité du casting : Ellen Pompeo (une Meredith à la fois gracieuse et fragile), Sandra Oh (impayable dans le rôle de Cristina), T.R. Knight (l'attendrissant George), Katherine Heigl (qui apporte toute sa conviction à Izzie), Patrick Dempsey, Justin Chambers...
Non, il ne s'agit pas d'"Urgences"
Si vous êtes allergique à Urgences ou si vous ne supportez pas l'atmosphère des hôpitaux, Grey's Anatomy est faite pour vous. D'un autre côté, si vous êtes un fan nostalgique du Dr Ross et si votre parfum préféré se nomme "Bétadine", la série est également conseillée !
Grey's Anatomy n'est pas un spin-off d'Urgences, ni même une lointaine cousine. Le seul point commun entre ces deux séries est évident : son décor principal. Mais la ressemblance s'arrête là. ER (en VO) a révolutionné la narration au milieu des années 90 et dépoussiéré un genre (la série médicale). Grey's Anatomy joue dans la même catégorie (un métier extrême ayant obligatoirement des répercussions personnelles) mais un tout autre jeu (il ne s'agit pas d'une chronique quotidienne sur la vie aux urgences mais, entre autres, d'un journal intime). Dans la première époque d'Urgences, le métier prenait le pas sur l'humain. Dans Grey's Anatomy, les personnages sont à la fois le fond et la forme, le point de départ et la ligne d'arrivée.
Pas de réalisme, mais c'est réaliste. Si Grey's Anatomy cherche à prendre ses distances sur la reconstitution à outrance, elle n'en reste pas moins ultra-réaliste, crédible et spectaculaire, accessoires, mise en scène et jargon technique à l'appui. Mais ce n'est jamais une finalité et les scénaristes, sans doute en réaction à ce qui a été déjà vu ailleurs, se sont même amusés à traiter des cas médicaux absurdes, comiques, spectaculaires, dramatiques... toujours efficaces.
Un juke-box
La musique joue un rôle capital dans Grey's Anatomy. Son omniprésence dans l'épisode pilote suffit pour s'en convaincre.
Comme un symbôle de l'importance de la bande son de Grey's Anatomy, les titres des épisodes (en VO) sont aussi des titres de chansons : A Hard Day's Night (les Beatles), The First Cut is the Deepest (Cat Stevens), Break on Through (les Doors), Losing my Religion (REM)...
Qu'elle soit utilisée comme une simple illustration ou en complément de l'action, la musique dans la série participe pleinement à la narration, les chansons font partie intégrante de chaque épisode. Créatrice ou amplificatrice d'émotion, la musique est un des éléments moteurs de l'énergie communicative de Grey's Anatomy. Dans cette série plus que dans n'importe quelle autre, la musique a un rôle à jouer, elle est une voix qui porte une émotion (celle du personnage) ou qui la provoque (chez le téléspectateur), qu'il s'agisse de rires ou de larmes.
Grey's Anatomy ou l'émotion à tue-tête...
Au début de
Une alchimie mystérieuse... L'une des grandes réussites de Grey's Anatomy est sans aucun doute le parfait équilibre entre les personnages principaux, l'alchimie instantanée qui existe entre Meredith, Izzie, Cristina, Alex et George. Cela tient sans doute aussi à la qualité du casting : Ellen Pompeo (une Meredith à la fois gracieuse et fragile), Sandra Oh (impayable dans le rôle de Cristina), T.R. Knight (l'attendrissant George), Katherine Heigl (qui apporte toute sa conviction à Izzie), Patrick Dempsey, Justin Chambers...
Non, il ne s'agit pas d'"Urgences"
Si vous êtes allergique à Urgences ou si vous ne supportez pas l'atmosphère des hôpitaux, Grey's Anatomy est faite pour vous. D'un autre côté, si vous êtes un fan nostalgique du Dr Ross et si votre parfum préféré se nomme "Bétadine", la série est également conseillée !
Grey's Anatomy n'est pas un spin-off d'Urgences, ni même une lointaine cousine. Le seul point commun entre ces deux séries est évident : son décor principal. Mais la ressemblance s'arrête là. ER (en VO) a révolutionné la narration au milieu des années 90 et dépoussiéré un genre (la série médicale). Grey's Anatomy joue dans la même catégorie (un métier extrême ayant obligatoirement des répercussions personnelles) mais un tout autre jeu (il ne s'agit pas d'une chronique quotidienne sur la vie aux urgences mais, entre autres, d'un journal intime). Dans la première époque d'Urgences, le métier prenait le pas sur l'humain. Dans Grey's Anatomy, les personnages sont à la fois le fond et la forme, le point de départ et la ligne d'arrivée.
Pas de réalisme, mais c'est réaliste. Si Grey's Anatomy cherche à prendre ses distances sur la reconstitution à outrance, elle n'en reste pas moins ultra-réaliste, crédible et spectaculaire, accessoires, mise en scène et jargon technique à l'appui. Mais ce n'est jamais une finalité et les scénaristes, sans doute en réaction à ce qui a été déjà vu ailleurs, se sont même amusés à traiter des cas médicaux absurdes, comiques, spectaculaires, dramatiques... toujours efficaces.
Un juke-box
La musique joue un rôle capital dans Grey's Anatomy. Son omniprésence dans l'épisode pilote suffit pour s'en convaincre.
Comme un symbôle de l'importance de la bande son de Grey's Anatomy, les titres des épisodes (en VO) sont aussi des titres de chansons : A Hard Day's Night (les Beatles), The First Cut is the Deepest (Cat Stevens), Break on Through (les Doors), Losing my Religion (REM)...
Qu'elle soit utilisée comme une simple illustration ou en complément de l'action, la musique dans la série participe pleinement à la narration, les chansons font partie intégrante de chaque épisode. Créatrice ou amplificatrice d'émotion, la musique est un des éléments moteurs de l'énergie communicative de Grey's Anatomy. Dans cette série plus que dans n'importe quelle autre, la musique a un rôle à jouer, elle est une voix qui porte une émotion (celle du personnage) ou qui la provoque (chez le téléspectateur), qu'il s'agisse de rires ou de larmes.
Grey's Anatomy ou l'émotion à tue-tête...
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