Lundi 17 juillet, Franck, ancien candidat de L'Amour est dans le pré a exprimé sa colère sur son compte Instagram. Il a raconté dans un post avoir fait face à une mésaventure qui l’a mis hors de lui. L’ancien compagnon de Cécile a été agressé par un homme qui tentait de lui voler ses champignons sur sa propriété.
"Il a tenté de me mettre un coup de bâton"
Dans un long message posé sur son compte Instagram, l’ancien candidat de L'Amour est dans le pré est d’abord revenu sur la création de son domaine, avant de raconter à sa communauté la mésaventure qu’il a vécue dans sa propre propriété. "Je rêvais d'un endroit où tout le monde se sentirait bien et de ce fait, respecterait les lieux. Le constat au bout de peu de temps a été un échec. Poubelles, malveillance, dégâts étaient fréquents. Les gens ne respectent rien et me prennent royalement pour un c**. J'ai donc dû faire la police, ce dont j'ai horreur", a-t-il confié.
Puis, l’agriculteur a raconté sur son compte Instagram l’altercation survenue quelques jours plus tôt. "Dans la semaine, un ramasseur de champignons du village a tenté de me mettre un coup de bâton en pleine figure. Ayant esquivé le coup, j'ai mis l'homme à terre. Ce lâche a, d'après la rumeur villageoise, déposé plainte. Le comble ! Il est chez moi, me vole mes champignons, essaye de me mettre un coup et il porte plainte... Trop c'est trop. Je ne risque strictement rien juridiquement sachant que j'étais en état de légitime défense, par contre, lui...", a-t-il expliqué à ses followers.
Franck prend une décision radicale
Il y a quelques jours déjà, Franck avait pris la parole sur les réseaux sociaux pour exprimer son ras le bol face aux visiteurs de son moulin. Le maraîcher avait expliqué être régulièrement confronté à des comportements inappropriés de la part de touristes, qui "mettent à mal" sa motivation. Il avait alors pris la décision de retirer son moulin des plateformes de réservation.
Cette semaine, après sa nouvelle mésaventure avec cette fois un voleur de champignons qui a eu des gestes violents envers lui, il a à nouveau fait un choix radical. "Je vais donc, malgré que j'ai horreur de cela, pancarter certains de mes bois et en fermer les accès. Une perte financière conséquente ainsi qu'une perte de temps. Mais où va t-on ? (...) Où est le respect de la propriété privée ? Il faut tout clôturer pour être enfin chez soi ? Quelle horreur ! La forêt doit être un espace où les animaux sont libres. La bêtise humaine et la jalousie sont décidément les pires des choses", a-t-il annoncé, visiblement très remonté.