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Synopsis & Info
Quand elle se réfugie à Paris, en avril 1789, Manon, jeune paysanne vendéenne, est convaincue que la société ne changera jamais. Tout particulièrement pour les femmes. Emportée par la tourmente révolutionnaire, ses certitudes vont vaciller.
L'intérêt de ce très mauvais film réside, non pas dans sa réalisation particulièrement médiocre, mais dans son idéologie assez caractéristique de la vision de la Révolution française qu'on essaie de nous vendre aujourd'hui. En gros, la révolution, ça serait bien s'il n'y avait pas tant de violence, Robespierre fut un monstre froid, son renversement a sauvé bien des condamnés - en oubliant que les Thermidoriens ont réprimé ensuite ...
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Catherine V.
56 abonnés
610 critiques
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4,0
Publiée le 7 octobre 2014
Excellente réalisation, fidèle à l'Histoire. Une interprétation très juste de tous les acteurs et une reconstitution minutieuse sur tous les plans méritent à mon goût sans exagération une notation à 4 étoiles.
franky D.
1 abonné
4 critiques
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5,0
Publiée le 2 janvier 2014
L'idée de montrer des gens ordinaires comme témoins des événements et de les faire réagir avec des commentaires de bon sens est excellente. Même en connaissant bien cette période on se laisse prendre au jeu d'être un spectateur pris par l'histoire. Une mention spéciale aux dialogues, mais surtout à l'actrice Gaêlle Bona, quel talent !
Un visiteur
4,0
Publiée le 27 décembre 2013
Quelle super idée d'associer Histoire et sujets légers ! Alex Lutz est excellent dans le rôle de Robespierre. On en redemande.
4 Critiques Spectateurs
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La réaction des fans
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G?rard Delteil
Voici l'exemple de tout ce qu'il ne faut pas faire dans un film historique. Nous avons droit à un véritable catalogue qui va, du peintre David au bourreau Samson, en passant par une galerie de dirigeants révolutionnaires présentés de façon didactique et ridicule. Mieux vaut aussi ne pas tenter de tourner la fusillade du Champ de Mars, où se rassemblait une foule de 20 000 personnes, avec 50 figurants et trois chevaux. Les anachronismes attestent de l'inculture des réalisateurs ou de leur mépris des spectateurs. Entre autres, des Sans-culottes chantent en 1792 un chant anarchiste... composé au 19ème siècle ! Quant à Gaëlle Bona, elle a beau cacher sa date de naissance sur différents sites, on a du mal à la prendre pour une petite paysanne de 18 ans dont elle pourrait peut-être la mère. La fadeur de son jeu n'a d'égal que son manque complet de charisme. Sur le plan idéologique, c'est évidemment très politiquement correct : la révolution, ça serait sympa sans la violence et Robespierre était un monstre froid. Pitoyable en effet.