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    Missing : au coeur du complot
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    3,4
    7 titres de presse
    • The Hollywood Reporter
    • Hitfix
    • San Francisco Chronicle
    • Entertainment weekly
    • Los Angeles Times
    • Variety
    • TV Guide

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    7 critiques presse

    The Hollywood Reporter

    Le concept est simple : une maman doit retrouver son enfant. Et chaque épisode est tourné (comme pour un film) dans un décor naturel différent en Europe, ce qui est une plus-value visuelle. Tout comme le fait qu' Ashley Judd se bagarre tout le temps, qu'elle tire dans tous les sens, qu'elle explose des Vespa et qu'elle saute de ponts à peu près toutes les 4 minutes. Mais le plus gros avantage de la série c'est que son créaeur, Gregory Poirier, a promis que le 10ème épisode bouclerait l'intrigue proprement tout en lançant une nouvelle dynamique vers une saison 2, si jamais elle devait voir le jour (...) Si vous recherchez une heure d'évasion et de divertissement chaque semaine - et pourquoi ne le voudriez-vous pas ? - reconnaissez à la chaîne ABC le culot d'essayer et de faire en sorte qu'une heure passe aussi vite.

    La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter

    Hitfix

    Donc, ce que nous avons là est un thriller calibré pour Ashley Judd, mâtiné de "Taken". Ce n'est pas profond mais cela offre tout ce que cela promet : de l'action, des séquences d'émotion portées par Judd et des piqûres de rappel régulières que le personnage principal est une ex-espionne cherchant son fils à travers toute l'Europe, et qu'elle est aussi une mère que les mamans de 18-49 ans qui regardent Modern Family et Grey's Anatomy adoreraient recevoir pour prendre le café (...) Missing a été créée par Gregory Poirier, qui a écrit notamment Benjamin Gates et le Livre des Secrets. C'est un film d'action et d'aventure qui remplit bien le bide et tient au corps. En clair, cela n'a rien d'innovant ou d'enthousiasmant, mais c'est suffisamment bien troussé pour fonctionner. Becca ne pouvant bien évidemment pas retrouver son fils tout de suite, la série lui attribue en quelque sorte des missions régulières, le même genre de procédé qui gardait Jack Bauer en mouvement pendant une saison de 24, là Becca doit rendre des services à des gens en échange d'un indice, d'une pièce du puzzle. La construction épisodique n'est pas forcément toujours très élégante, mais elle est remplie de bagarres, de larmes et de cris, et c'est tout ce qu'on lui demande

    La critique complète est disponible sur le site Hitfix

    San Francisco Chronicle

    Judd est très crédible dans le rôle de cet ex-agent de la CIA, surtout lorsqu'elle est amenée à sortir les poings face aux criminels des Rome ou Paris, où la recherche de son fils l'amène. En revanche la crédibilité en prend un coup lorsqu'elle éconduit le responsable de l'antenne de la CIA à Rome, Dax Miller (Cliff Curtis), et qu'elle engage ses anciens partenaires, l'agent d'Interpol Giancarlo Rossi (Adriano Giannini), puis dans le second épisode, un ex-agent du renseignement français désormais sous "identité secrète" et surnommé "Disque Dur" (Lothaire Bluteau). Si les services de renseignement des Etats-Unis et d'Europe sont aussi inefficaces que dans la série, nous sommes mal barrés (...) Missing, c'est peut-être 2% d'inspiration et 98% de transpiration, avec toutes ces scènes d'action, mais c'est agréable à regarder. Judd remplit haut-la-main son contrat, mais, de toute façon, qui peut résister à une maman adepte du kickboxing ?

    La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle

    Entertainment weekly

    J'ai admiré le travail de comédienne d'Ashley Judd pendant des années, même si, à y regarder de plus près, elle n'a pas tant de films de premier plan à son actif (...) Mais au vu de ses dernières sorties sur grand écran - Fée malgré lui et L' Incroyable histoire de Winter le dauphin - ce n'est pas une vraie surprise qu'elle tente sérieusement l'option série. Mais c'est vraiment dommage qu'elle ait sauté le pas avec Missing (...) Et pourtant le suis la ciblé idéale pour un tel show : je suis un admirateur de Judd et j'avais hâte de la voir se battre. Et pourtant je trouve la série ennuyeuse et incroyablement sérieuse. Bien entendu je ne m'attendais pas à une compétition de rires, ni même à une ironie "à la" Alias - je souhaitais simplement que Becca ait conscience, après avoir retrouvé son fils bien entendu - de l'ironie de la situation, notamment celle de sortir à nouveau les poings, dix ans plus tard. Pire, les épisodes semblent interchangeables, malgré les changements de lieu. J'aurais vraiment aimé qu'Ashley Judd choisisse une meilleure série.

    La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly

    Los Angeles Times

    Avec un phrasé généralement plat, une voix monocorde sur un visage impassible et un regard qui ne fuit jamais, Becca n'apparait jamais vraiment désespérée ou furieuse (et pourtant elle perd successivement son mari puis son enfant !), ni même effrayée ou concentrée. Au contraire, elle semble passer d'une étape à l'autre avec une grande volonté et sans recul. Bien entendu Missing n'est pas une comédie, mais lorsque le scénario donne à cet ex-espionne au sang froid des répliques qui feraient rire ou sourire n'importe quel être humain, Judd reste absolument de marbre, comme un agent récitant consciencieusement son ordre de mission. Becca peut répéter autant de fois qu'elle le veut "Je ne suis pas une espionne, je suis une mère à la recherche de son fils" (et elle le répète régulièrement), l'interprétation de Judd rend le personnage tellement peu aimable que la quête initiale en devient dénuée d'émotions. Au final les téléspectateurs n'ont plus à se mettre sous la dent que des scènes d'action et de poursuite, un excellent casting de seconds rôles (lesquels mettent en lumière justement les carences du personnage principal) et de vrais et beaux décors naturels. C'est peut-être suffisant mais cela aurait pu, et dû, être beaucoup mieux.

    La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times

    Variety

    En plus du fait de souligner une nouvelle fois que le monde de l'espionnage ne se marie pas avec la famille, Missing n'apporte rien de neuf (...) Bien sûr Judd, dans sa première série à elle, montre dès le premier épisode qu'elle est capable d'insuffler de la dimension physique à son personnage, à tel point d'ailleurs que les agents de la CIA qui poursuivent Becca semblent émerveillés par le fait qu'elle n'ait rien perdu durant ses 10 ans loin du terrain. On peut mettre au crédit de Missing le fait que la série s'engage dans la bataille sans prétention et, peut-être faut-il le relever, avec beaucoup de simplicité (...) En fait, même si les prouesses de Becca donnent quelques maigres raisons de suivre Missing, au final on ne peut s'empêcher de penser que le film Taken avait mieux réussi sur ce terrain-là.

    La critique complète est disponible sur le site Variety

    TV Guide

    Si Ashley Judd semble physiquement au top, son jeu et ses expressions sont proches de l'anémie (...) Les décors naturels sont magnifiques - un épisode se déroule à Rome, un autre à Paris, le 4ème à Dubrovnik - et donnent envie de quitter le canapé et de voyager. L'insipidité de l'intrigue provoque le même effet (...) Si Missing était aussi excitante qu'improbable, elle pourrait être qualifiée de "plaisir coupable". Malheureusement il lui manque deux ingrédients : de l'originalité et de l'intelligence.

    La critique complète est disponible sur le site TV Guide
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