Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
USA Today
Nous avons tous besoin d'un bon programme de télévision estivale, d'un peu d'évasion. Et si le premier épisode est à l'image de la série, divertissant et intrigant, Under the Dome pourrait très exactement se révéler ce dont nous avons besoin (...) Ce qui arrive à ces personnages est beaucoup plus intéressant que les raisons de l'apparition de ce dôme. Les téléspectateurs auront une explication, à un moment ou à un autre, bien sûr, mais le show pourrait fonctionner sans avoir absolument à donner cette réponse.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Newsday
Ce que vous allez voir pendant les 40 minutes du pilote est la promesse d'une évasion estivale de bonne qualité. Bien entendu vous allez parfois souhaiter y voir un peu plus d'action. Vous souhaiteriez presque que 5 ou 6 zombies soient coincés sous le dôme (ce n'est pas le cas, désolé). Mais vous ne devriez pas rater le début, lorsque le dôme apparait (...) Ma conclusion : on tient ici une des séries gagnantes de l'été.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
TV Guide
La séquence d'ouverture façon film catastrophe est excitante, et laisse derrière elle quelques mauvaises et flippantes surprises aux habitants de la ville. Il y a des traces de La Quatrième dimension dans l'ADN de cette parabole mélodramatique, la ville sous ce dôme étant vue comme l'incubateur d'une folie purulente et d'une corruption sociopolitique.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
The Daily Beast
Vogel est fantastique dans le rôle de Dale "Barbie" Barbara, ce cousin de Sawyer [ndlr : le personnage de Lost], un bad boy contraint de devenir un héros (...) La série repose sur une mythologie suffisamment riche pour tenir les téléspectateurs en haleine tout l'été, tandis que les séreivores à la recherche d'un drama centré avant tout sur des personnages seront eux aussi comblés.
La critique complète est disponible sur le site The Daily Beast
The Hollywood Reporter
CBS tient quelque chose. Le network frappe fort en associant King et Spielberg, ainsi que Vaughan et cette belle distribution. J'aime particulièrement le fait que la chaîne construise un événement télévisuel avec Under The Dome, sans avoir à constamment se poser la question d'un éventuel renouvellement. Vous avez 13 épisodes devant vous et ensuite vous passez à autre chose. Après avoir cédé autant de terrain au câble ces dernières années pendant la période estivale, les networks avaient besoin d'évoluer. Ce type d'événement est un pas dans la bonne direction. Et concernant strictement Under the Dome, cela aide grandement d'avoir pour pilote un épisode aussi intrigant, débordant de storylines prometteuses. Si les téléspectateurs tombent sur cet épisode, ils reviendront pour le prochain. Les critiques également.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Uncle Barky
Under the Dome, dont les producteurs délégués se nomment Stephen King et Steven Spielberg, est clairement présentée comme le joyau de la couronne estivale des quatre grands networks. Elle n'a pas l'air si cheap, ni trop prise de tête. Et même s'il s'agit d'un divertissement pop corn, elle a de la substance (...) Under the Dome a pour elle de solides effets spéciaux et une storyline intrigante, apportant un peu d'air frais à une saison estivale de CBS jusque-là réservée aux émissions de télé-réalité comme Big Brother et des rediffusions de séries policières.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Entertainment weekly
J'espère que Under the Dome ressemblera à Orphan Black ou Hannibal, deux séries reposant d'abord sur des personnages complexes et riches, privilégiant le mystère et la mythologie. Si Vaughan réussit à donner encore plus de profondeur aux personnages et à conserver ce show incisif sans devenir trop prétentieux, je resterai aux côtés des habitants de Chester Mills (...) pour des saisons et des saisons encore.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Los Angeles Times
Vaughan et ses collègues avaient peut-être peur de développer une intrigue plus calme, privilégiant le suspense, ou alors CBS leur a demandé d'accélérer la cadence pour que le dôme tombe au plus vite. le roman de Stephen King est son oeuvre la plus ouvertement politique, montrant comment l'ordre social que nous prenons pour acquis peut exploser au contact de l'isolement et de la peur, une sorte de "Sa Majesté des mouches" avec des adultes en quelque sorte. Dans la série, l'ordre s'érode tellement rapidement que cela en devient malheureusement prévisible. Cela ne veut pas non plus dire qu'Under the Dome ne procure aucun plaisir au visionnage (...) J'espère simplement que les scénaristes vont reprendre un peu leur souffle entre les épisodes 1 et 2 et se rappeler qu'une histoire effrayante est meilleure quand elle est racontée lentement.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Slant Magazine
Le créateur de la série, Brian K. Vaughan, signe une adaptation de King une nouvelle fois insipide, et tendant vers le mélodrame (...) Le véritable don de King pour capter le quotidien des petites villes américaines a été mis de côté (...) Il n'y a rien de profondément mal à ce qu'un producteur prenne des libertés par rapport au matériau original (...) mais les ajouts de Vaughan n'ont d'autre but que de polisser cette histoire bizarre.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Slate
L'écriture et la réalisation de Vaughan, déporte l'oeuvre de Stephen King dans un territoire dangereux. Ce risque, c'est l'ennui - un ennui comparable à celui ressenti devant les dernières saisons de Lost.
La critique complète est disponible sur le site Slate
USA Today
Nous avons tous besoin d'un bon programme de télévision estivale, d'un peu d'évasion. Et si le premier épisode est à l'image de la série, divertissant et intrigant, Under the Dome pourrait très exactement se révéler ce dont nous avons besoin (...) Ce qui arrive à ces personnages est beaucoup plus intéressant que les raisons de l'apparition de ce dôme. Les téléspectateurs auront une explication, à un moment ou à un autre, bien sûr, mais le show pourrait fonctionner sans avoir absolument à donner cette réponse.
Newsday
Ce que vous allez voir pendant les 40 minutes du pilote est la promesse d'une évasion estivale de bonne qualité. Bien entendu vous allez parfois souhaiter y voir un peu plus d'action. Vous souhaiteriez presque que 5 ou 6 zombies soient coincés sous le dôme (ce n'est pas le cas, désolé). Mais vous ne devriez pas rater le début, lorsque le dôme apparait (...) Ma conclusion : on tient ici une des séries gagnantes de l'été.
TV Guide
La séquence d'ouverture façon film catastrophe est excitante, et laisse derrière elle quelques mauvaises et flippantes surprises aux habitants de la ville. Il y a des traces de La Quatrième dimension dans l'ADN de cette parabole mélodramatique, la ville sous ce dôme étant vue comme l'incubateur d'une folie purulente et d'une corruption sociopolitique.
The Daily Beast
Vogel est fantastique dans le rôle de Dale "Barbie" Barbara, ce cousin de Sawyer [ndlr : le personnage de Lost], un bad boy contraint de devenir un héros (...) La série repose sur une mythologie suffisamment riche pour tenir les téléspectateurs en haleine tout l'été, tandis que les séreivores à la recherche d'un drama centré avant tout sur des personnages seront eux aussi comblés.
The Hollywood Reporter
CBS tient quelque chose. Le network frappe fort en associant King et Spielberg, ainsi que Vaughan et cette belle distribution. J'aime particulièrement le fait que la chaîne construise un événement télévisuel avec Under The Dome, sans avoir à constamment se poser la question d'un éventuel renouvellement. Vous avez 13 épisodes devant vous et ensuite vous passez à autre chose. Après avoir cédé autant de terrain au câble ces dernières années pendant la période estivale, les networks avaient besoin d'évoluer. Ce type d'événement est un pas dans la bonne direction. Et concernant strictement Under the Dome, cela aide grandement d'avoir pour pilote un épisode aussi intrigant, débordant de storylines prometteuses. Si les téléspectateurs tombent sur cet épisode, ils reviendront pour le prochain. Les critiques également.
Uncle Barky
Under the Dome, dont les producteurs délégués se nomment Stephen King et Steven Spielberg, est clairement présentée comme le joyau de la couronne estivale des quatre grands networks. Elle n'a pas l'air si cheap, ni trop prise de tête. Et même s'il s'agit d'un divertissement pop corn, elle a de la substance (...) Under the Dome a pour elle de solides effets spéciaux et une storyline intrigante, apportant un peu d'air frais à une saison estivale de CBS jusque-là réservée aux émissions de télé-réalité comme Big Brother et des rediffusions de séries policières.
Entertainment weekly
J'espère que Under the Dome ressemblera à Orphan Black ou Hannibal, deux séries reposant d'abord sur des personnages complexes et riches, privilégiant le mystère et la mythologie. Si Vaughan réussit à donner encore plus de profondeur aux personnages et à conserver ce show incisif sans devenir trop prétentieux, je resterai aux côtés des habitants de Chester Mills (...) pour des saisons et des saisons encore.
Los Angeles Times
Vaughan et ses collègues avaient peut-être peur de développer une intrigue plus calme, privilégiant le suspense, ou alors CBS leur a demandé d'accélérer la cadence pour que le dôme tombe au plus vite. le roman de Stephen King est son oeuvre la plus ouvertement politique, montrant comment l'ordre social que nous prenons pour acquis peut exploser au contact de l'isolement et de la peur, une sorte de "Sa Majesté des mouches" avec des adultes en quelque sorte. Dans la série, l'ordre s'érode tellement rapidement que cela en devient malheureusement prévisible. Cela ne veut pas non plus dire qu'Under the Dome ne procure aucun plaisir au visionnage (...) J'espère simplement que les scénaristes vont reprendre un peu leur souffle entre les épisodes 1 et 2 et se rappeler qu'une histoire effrayante est meilleure quand elle est racontée lentement.
Slant Magazine
Le créateur de la série, Brian K. Vaughan, signe une adaptation de King une nouvelle fois insipide, et tendant vers le mélodrame (...) Le véritable don de King pour capter le quotidien des petites villes américaines a été mis de côté (...) Il n'y a rien de profondément mal à ce qu'un producteur prenne des libertés par rapport au matériau original (...) mais les ajouts de Vaughan n'ont d'autre but que de polisser cette histoire bizarre.
Slate
L'écriture et la réalisation de Vaughan, déporte l'oeuvre de Stephen King dans un territoire dangereux. Ce risque, c'est l'ennui - un ennui comparable à celui ressenti devant les dernières saisons de Lost.